partis politiques et affaires locales
Agression imaginaire d’un candidat RN à Saint-Étienne : victimisation et traitement médiatique à deux vitesses.
Rassemblement contre Perdriau et son monde à l’occasion du Conseil municipal. Rendez-vous le lundi 24 juin à 18h30 devant l’hôtel de ville ! Venez avec votre boîte de conserve.
La version médiatique de la venue express de Raphaël Glucksmann à Saint-Étienne le 1er mai 2024 ne reflète pas la réalité. Petite mise au point collective qui est également l’occasion de rappeler que non, Glucksmann n’est pas un camarade !
Lundi 25 Mars 2024, un conseil municipal de plus avec l’infâme Perdriau et son équipe abjecte... Rassemblement à 18h devant l’Hôtel de ville.
Perdriau et son clan, l’association de malfaiteurs la plus subventionnée de France ! Le comité défaite vous convie le lundi 29 janvier à 17h30 sur le parvis de l’hôtel de ville, pour la plus délicieuse soupe à l’oignon (perdriau démission !) jamais faite contre un système politique dont on ne veut plus !
Perdriau, casse-toi ! Crêpes, vin chaud et goodies de Noël devant l’hôtel de ville lundi 27/11 à partir de 17h30 !
Invitation du Comité Défaite à se réunir pour le conseil municipal de rentrée, le lundi 25 septembre.
Un an après, c’est toujours PERDRIAU DÉGAGE !! Communiqué pour les 1 an de ladite « affaire Perdriau ».
La parution de l’Appel chez Divergences fait émerger à nouveau les débats autour de « l’appellisme », ce texte est le résultat d’une réflexion à plusieurs pour y voir clair.
Ce lundi 26 juin 2023, le Comité Défaite a organisé un grand gala de charité pour notre maire Gaël Perdriau. Les soutiens à Gaël ne s’effaceront pas d’un coup de gazeuse magique !
Appel à rassemblement le vendredi 30 juin 2023 à l’hôtel régional à Lyon à partir de 10h30.
Pour le dernier conseil municipal avant les vacances, venez nous retrouver avec vos plus beau costumes « de droite » ! Place de l’Hôtel de Ville, à partir de 18h.
Le Comité Défaite propose un petit retour sur le conseil municipal du 30 mai 2023, dont le traitement médiatique a été particulièrement éloigné de la réalité des faits.
Mardi soir, on a voulu ajouter du beurre à la soupe et appuyer les messages du concours de vinaigrette du Comité Défaite et de la visite casserolée de la mairie. Démission !!!
Après quelques semaines de silence, et malgré une actualité locale toujours aussi bruyante, le Comité Défaite vous invite à refaire surface avec lui devant la mairie de Saint-Étienne, le mardi 30 mai à 18h, à l’occasion du prochain conseil municipal de notre ville.
Lundi 27 mars, place de l’Hôtel de Ville, à 17h30.
Marathon de la démission : Gaël, ici s’achève ta course !
# JeCoursContreLeMaire
# PerdriauEscroc
Alors que la municipalité de Saint-Étienne prévoirait une réduction de 1,5 million d’euros des subventions aux associations (sur un budget global de 13 millions d’euros), les associations stéphanoises lancent une pétition « pour ne pas subir individuellement mais réagir collectivement ». La pétition à signer ici : https://chng.it/nQFWNDjn.
Contre toute-attente populaire, Gaël Perdriau attaque bel et bien une nouvelle année à la tête de la ville. Le Comité Défaite attaque lui aussi l’année 2023, plus vivant que jamais, et vous convie à ses vœux, le lundi 30 janvier à 17h30 sur le parvis de l’Hôtel de Ville.
Le lundi 28 novembre, le Comité Défaite invite tout.es les stéphanois·es à une joyeuse tombola de fin de mandat de Perdriau, à l’occasion de laquelle chacun·e pourra se réchauffer autour d’un bol de soupe aux choux.
Retrouvez le podcast de La machine à découdre d’octobre 2022. Une émission consacrée à la rentrée politique à Saint-Étienne autour notamment de « l’affaire Perdriau » (avec, entre autres, un entretien avec Antton Rouget de Médiapart).
Le Comité Défaite invite à se regrouper devant l’hôtel de ville tous les lundis de 17h à 19h, jusqu’au prochain conseil municipal. Prochain rassemblement, lundi 10 octobre.
Suite du pot de départ de Monsieur le Maire, fêté dignement lundi dernier : remise de son livre dort lundi 3 octobre à 17h30 devant l’hôtel de ville. Organisé par le comité Défaite !
Un carton d’invitation reçu au Couac.
Pour lundi 26 septembre à 17h30, Parvis de l’Hôtel de ville.
Un autre appel à rassemblement est également annoncé pour 14h, heure du prochain conseil municipal.
Les langues se délient, les rats quittent le navire et les appels à la démission de Perdriau et/ou retrait de Perdriau se multiplient depuis les nouvelles révélations de Médiapart lundi dernier. Un premier appel à rassemblement est lancé pour aujourd’hui mercredi 14 septembre à 18h, place de l’Hôtel de ville. Cet appel est relayé par les Brigades de solidarité.
Nous sommes des Stéphanois.e.s qui pensons que cette affaire n’est ni un fait divers, ni l’épisode people et « partie fine » de l’été. Au contraire, et comme le souligne à juste titre le journaliste « l’affaire Perdriau » n’a pas qu’une dimension locale. Ce qu’elle raconte de la culture de l’impunité de certains élus, ainsi que du dévoiement de la gouvernance locale dépasse le cadre de Saint-Étienne ». C’est pourquoi – et pour toutes les raisons qui suivent – cette affaire nous concerne. Pour vous en convaincre en voici 12.
Poursuivant sa tradition d’un journalisme total, le Couac a enquêté 24 heures durant. Notre cible pour ce dossier sport : l’anneau des sueurs animales, la piste aux étoiles en cravate, l’antre du sport qui s’inscrit sur des tickets : l’hippodrome de Feurs.
La Biennale du design a ouvert ses portes début avril. Retour avec un article paru en 2019 dans le magazine Mouvement sur les enjeux du design à Saint-Étienne – outil de « marketing territoral » pour la ville et ses industries créatives mais aussi cheval de Troie à des politiques sécuritaires.
Décidément, la place Jean Jaurès n’aura jamais aussi mal porté son nom ! Après le bar Les poteaux carrés qui ont accueilli les ignobles néo-fascistes Zemmouroïdes le soir du premier tour (sous intense protection policière), c’est au tour du Méliès Café de privatiser son espace, cette fois au profit des infâmes Macronistes locaux.
Rencontre avec Taha Bouhafs autour de son livre Ceux qui ne sont rien (La Découverte, 2022). Ce samedi 12 mars 2022, à 18h39, à l’Amicale laïque du Crêt de Roch (16, rue Royet 42000 St-Etienne).
Chaude ambiance avant son arrivée... Puis, loin de la place, la gendarmerie évacue de force les manifestants qui demeureront nassés pendant plusieurs heures, bien à distance. Tout est sous contrôle, le spectacle présidentiel peut commencer.
« À Saint-Étienne, le vert n’est pas qu’une couleur, c’est une philosophie » pavane la municipalité. Mais de tout ce vert promis pendant la campagne, on attend encore de voir la couleur. Car jusqu’à présent, les préoccupations environnementales sont loin de guider l’action de la municipalité Perdriau – sous ce mandat comme lors du précédent. Un article paru dans le Couac au printemps 2021.
La rédaction du Couac vous propose les Wauquiezeries de son numéro 12 (paru au printemps, toujours dans les points de vente habituels !). Au programme : féminisme de pacotille, aides faramineuses aux stations de ski et financement de la techno-sécurité.
Ce texte revient sur l’Affaire du 8/12. Ce coup de filet Qui Tombe à Pic témoigne des dérives fascistes qui nous concernent touxtes. Elle montre encore une fois qu’il est possible pour la police, grâce à l’outil antiterroriste, d’emprisonner des militant.es (et assimilé.es) pour de « vagues soupçons » d’intentions de « s’en prendre aux forces de l’ordre ».
Lundi 8 février commençait le « Beauvau de la Sécurité » lancé par Emmanuel Macron à l’automne. Quatre mois de discussion pour, soi-disant, « renouer la confiance entre la police et la population »...
Jean Louis Gagnaire instrumentalise l’assassinat du professeur Samuel Paty pour mieux condamner la mobilisation organisée par le « collectif stéphanois contre le racisme et l’islamophobie » et le média qui a couvert l’événement.
Enseignants, « il n’y a rien de réjouissant à recevoir, comme les soignants hier, nos applaudissements aujourd’hui. »
Les réactions d’horreur et de stupéfaction suscitées par l’assassinat de Samuel Patty sont unanimes. Mais c’est justement parce que cette barbarie nous accable tous que sa récupération politicienne et de tous bords peut apparaître indécente. Réaction, à chaud, d’une enseignante scandalisée d’être dramatiquement érigée en héroïne après avoir pris l’habitude au fil des années de se sentir méprisée ; notamment par sa hiérarchie qui s’empresse aujourd’hui d’invoquer une solidarité qu’elle considère hypocrite. Publié sur le site de lundi.am
« Sans aéroport, nous ne pourrions plus espérer être retenus pour de grands événements sportifs et culturels » déclarait Gaël Perdriau il y a un an. Le maire de Saint-Étienne, obnubilé par l’attractivité de sa ville, évoquait alors la possibilité de rouvrir une ligne aérienne régulière entre Paris et la cité stéphanoise. Entre temps, le confinement est passé par là, remettant au centre des débats la question de l’hypermobilité, génératrice de dégâts sociaux et environnementaux. Le Couac est parti pour une enquête multimodale sur le plus grand tarmac de la Loire.
Alors que le-mal-nommé-Le-Progrès a applaudi à la victoire de Perdriau au deuxième tour des élections municipales de fin juin – titrant, sobrement, « Perdriau en force » –, il nous a semblé bon de rappeler l’échange acide entre l’élu et le journal pendant le confinement en relayant ici un post émanant du facebook officiel du maire (alors sortant).
Monsieur Perdriau peut fanfaronner et faire le faramelan tant qu’il veut, il ne masquera pas la réelle gagnante de cette élection : Madame Abstention. Encore plus importante qu’au premier tour, et forte d’un score de 72% elle a battu à plat de couture le maire sortant qui, si l’on calcule bien, n’est élu qu’avec 16% des voix.
Alors que ce dimanche 28 juin a lieu le second tour des élections municipales, le maire de Firminy, Marc Petit se présente pour un troisième mandat. Problème, le premier édile appelou a été condamné en appel pour agression sexuelle, dans une affaire datant de 2016.
L’autorisation d’exploitation de la carrière de charbon dans le village de St-Julien-Molin-Molette par la société Demonico-Dorel expire en 2020. Loin de s’arrêter, l’entreprise entend toutefois poursuivre et étendre la carrière. Et rebondissements début janvier avec un arrêté préfectoral accordant un blanc-seing à Demonico-Dorel. Retour dans le Couac n°9 sur l’affaire et l’action menée en réaction par le Collectif des Habitants et des Riverains contre l’extension de la Carrière.
Il y a deux semaines, le dimanche 15 mars, le confinement venait d’être annoncé, mais the show démocratique must go on et le premier tour des élections municipales était maintenu. Seulement le second tour a depuis été reporté sine die et les partis se retrouvent avec leurs locaux de campagne sur les bras. Selon les informations recueillies par Couac, ils auraient donc décidé de ne pas payer leurs loyers !
Dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 mars, la permanence électorale de la politicienne RN a été attaquée à Saint-Étienne (Loire) : des pierres ont été jetées contre les vitres du local de Sophie Robert situé rue Victor Hugo. « Des impacts de projectile et des débris de verre ont été relevés par la police ». Article publié sur le site Sans attendre demain.
C’est qu’il faisait franc le faramelan le Perdriau, hier soir à la sortie des urnes avec ses 46 % ! Sophie Robert et Patrick Revelli par contre, avaient plutôt le babaud - ce qui n’est pas pour nous déplaire ! Mais en pleine épidémie de Corona Virus, force est de constater que le grand vainqueur des élections de dimanche, c’est l’abstention avec un taux record de 68 %. Petite rectification des chiffres pour une réelle analyse du scrutin du premier tour des municipales.
Comme l’ont révélé il y a quelque temps les camarades du Gueuloir, la candidate RN à la mairie de Saint-Étienne, Sophie Robert, joue un jeu plutôt trouble avec les royalisto-fascistes de l’Action Française. Voici un petit complément d’information salutaire en cette période pré-électorale.
Ce jeudi 23 janvier à 18h30 aura lieu au 29 avenue de la Libération l’inauguration du local de campagne En Marche Saint-Étienne, ceci est un appel à perturber joyeusement ces festivités. 47 jours que la grève continue, et depuis le 1er janvier de nombreuses cérémonies de voeux et autres mondanités ont été perturbées par des manifestant.e.s un peu partout en France. À notre tour de faire savoir à En Marche Saint-Étienne que l’ouverture de ses locaux n’est qu’une provocation de plus.
Sophie Robert, la bourgeoise cheffe départementale du Rassemblement national, accompagnée d’une dizaine de militants environ, a été surprise ces derniers jours dans un local du quartier Albert Thomas en train de passer la serpillière.
À travers un portrait d’Éric Petrotto, qui à la fois gère la Fabuleuse Cantine (un des lieux de restauration les plus « tendances » de la ville) et investit dans Serenicity (la société qui portait le projet d’installation de micros dans le quartier de Beaubrun-Tarentaize), Couac vous propose une enquête dans l’économie locale du numérique et son nouvel esprit du capitalisme.
Il y a environ une semaine, un contributeur au site Numéro Zéro faisait parvenir un texte intitulé « Incroyable ! L’UNESCO décerne à la ville de Saint-Étienne le label de ’’ville inclusive et durable’’ » qui dénonçait l’écart entre les objectifs d’un tel label et la politique de la mairie de Saint Etienne. Après vérification sur le site de l’unesco, la réalité s’avère pire que prévu : à l’hyprocrisie s’ajoute la déformation de la vérité par le maire et comme d’habitude relayée benoîtement par Le Progrès.
Ce label censé être attribué aux villes qui mettent en œuvre des politiques de lutte contre le racisme, la discrimination, la xénophobie et l’exclusion semble vraiment usurpé pour la bonne ville de Saint-Étienne et toute l’équipe municipale du maire Gaël Perdriau. En effet, à ma connaissance ce n’est pas le domaine d’excellence de ce dernier. Il serait bon de rappeler aux inspecteurs quelques faits et actes qui viennent en complète contradiction avec l’attribution de ce label.
Dans le parc du Musée de la Mine à Saint-Étienne vivent depuis plusieurs mois 7 familles d’origine roumaine, dont environ 25 enfants. Pour réclamer de l’aide aux pouvoirs publics qui demeurent sourds malgré les températures négatives, elles ont occupé le hall de la Mairie aujourd’hui. La réponse a été tonitruante.
Digital Saint-Étienne est une centralisation des bases de données, une plate-forme numérique évolutive de gestion des données urbaines, le début de la smart city et d’une ville robotisée.
À Saint-Étienne, la section départementale du Rassemblement National a été surprise, vendredi 1er novembre, à accueillir en ses locaux une réunion/conférence du groupuscule royaliste d’extrême droite, déjà connue pour ses méthodes violentes et fascistes : l’Action Française !
Le 17 octobre dernier, se tenaient à l’Université Jean Monnet des élections en vue de renouveler différents conseils dont le Conseil d’administration, qui élit le-la président-e. Casseroles, recettes rances et plats indigestes étaient au menu. Menu dont les effluves douteuses ont inspiré cet entretien presque réel avec l’ancienne, et future, présidente – Michèle Cottier.
Ce trombinoscope paru dans le journal du carnaval de l’inutile de mars 2019, nous propose un petit tour d’horizon des assos de « réaménagement urbain » qui ont pignon sur rue à Sainté. Jeunes, « alter » et pleines de bonnes intentions. Nous avons ici une vue rapide sur leurs histoires, leurs projets et leurs liens avec le pouvoir municipal ou national.
L’EPASE, c’est notre établissement public d’aménagement de Saint-Étienne, avec ses logiques et modèles, et ses zones où il a planté ses griffes. Le Journal du Carnaval, publié en mars 2019 à l’occasion du carnaval de l’Inutile, nous donnait un début d’explication sur ses finalités dans un de ses articles.
« Il convient de maîtriser l’image de la cité, de la même manière qu’on joue sur celle d’une entreprise pour influer sur sa cotation en bourse. »
Article paru dans le journal du Carnaval de l’Inutile de mars 2019 sur notre métropole stéphanoise et le recours au design comme instrument de transformation de la ville.
La gentrification est un mot barbare et parfois fourre-tout. Une célèbre encyclopédie en ligne la présente ainsi : « La gentrification (du mot anglais gentry, « petite noblesse »), ou embourgeoisement en français, ou boboïsation dans la presse, est un phénomène urbain par lequel des personnes plus aisées s’approprient un espace initialement occupé par des habitants ou usagers moins favorisés, transformant ainsi le profil économique et social du quartier au profit exclusif d’une couche sociale supérieure. »
Mais qu’en est-il à Sainté ? La question est posée ici avec quelques éléments de réponse...
À lire dans Couac n°2...
Partout, toujours. Laurent Wauquiez, l’homme aux multiples vestes rouges, à la tête de la région Auvergne–Rhône-Alpes, mais aussi vice-président des Républicains et député de Haute-Loire, ne se ménage pas. Depuis la sortie de notre numéro 1, l’homme fort de la Région se frotte à de multiples thématiques à tendance électoralistes.
Le 18 juillet 2008, Monsieur Maurice Vincent, actuel Maire de Saint-etienne, diffusait une mise au point par écrit sur la situation des Rroms. Cette lettre n’est pas parue sur le site du Maire.
Elle s’est ensuite retrouvée, par rebonds, sur divers sites internet. Les paragraphes en caractères gras et italiques appartiennent à Monsieur Maurice Vincent. Certains paragraphes n’ont pas été traités. Vous pouvez trouver la lettre dans son intégralité au bas de cette page.