Le squat Izmir, lieu d’activités et d’habitation dans le quartier Beaubrun à Saint-Étienne, ainsi que ses habitant-e-s, ont été expulsé-e-s le 26 juillet 2006. Pour la ville de Saint-Étienne et tou-te-s les « urbanistes bourgeois-es », c’est la poursuite normale des opérations urbaines, dont le but est d’embourgeoiser les quartiers environnant le centre ville, entraînant la disparition de quartiers populaires tels que Beaubrun.
Comment articuler la mise en pratique du droit au logement et adapté avec la constitution d’un lien humain et social ? Un entretien sur les champs des possibles paru dans le Couac n°13.
7e édition du bal populaire du Crêt-de-Roc. On est ravis de vous convier une fois de plus à l’ombre des platanes, sous nos petits lampions. Avant-première avec projection le 13 juillet et concerts le 14 juillet au square Dujol, à partir de 16h.
Concert et buvette à la Gueule Noire, mercredi 13 Juillet 2022, en soutien à l’association Idir espoir et Solidarité
Soirée de soutien à l’espace autogéré de Saint Etienne. 4 groupes, Djs, bouffe, sérigraphie, bref une bamboche sans relouEs !
Le groupe Gastonne la Caf continue ses rendez-vous une fois par mois pour s’informer et se défendre face aux institutions, et mieux comprendre nos droits quand on est allocataire (ARE, RSA, ASS, AAH, APL, etc.).
Le Couac a envoyé ses sportifs les plus amateurs sur les traces passées et actuelles de la FSGT, pour éclaircir un peu les pratiques amatrices et populaires du sport.
Né à Saint-Étienne en 1886, Jean-Jaques Liabeuf en sera interdit de séjour et s’installera à Paris en tant qu’ouvrier cordonnier dans le quartier des Halles. Injustement condamné pour proxénétisme, il entreprend de laver son honneur par ses propres moyens : des brassards cloutés, une lame affûtée et un revolver. Il devient un légendaire « tueur de flics ». Sa condamnation à mort déclenche une forte émotion, si bien qu’on le surnommera le « Dreyfus des anars ». Le jour de son exécution, une insurrection éclate.
Mohamed Benmouna est mort en juillet 2009 à la suite d’une garde à vue au commissariat du Chambon-Feugerolles, à l’âge de 21 ans. Le collectif Justice pour Mohamed Benmouna, qui se mobilise pour obtenir la vérité sur sa mort et la justice et organise le 6 juillet prochain un hommage, répond aux questions de Couac.
Mercredi 29 juin, marchons pour le droit à l’avortement et aux contraceptions !