Réaction d’habitant.es de Saint-Julien-Molin-Molette suite à une série de tags de croix gammées sur les commerces du village samedi 10 avril. D’un symbole tagué à la mise en place d’un système autoritaire et xénophobe, il n’y a qu’une longue continuité de petits et grands actes que l’on peut contrer. L’antifascisme est l’affaire de toutes et tous.
Il y a quelque temps, des révélations accablantes ont été faites sur la plateforme indymedia ; celles-ci visent des membres de l’Action Française Saint-Étienne.
On y apprend que des membres de l’Action Française ont participé à une ratonnade, notamment aux côtés de Ouest Casual, un groupuscule néonazi ultra-violent.
Ce samedi 20 février à Paris, le groupuscule d’extrême droite Génération Identitaire organisait une manifestation contre sa dissolution. Un contre rassemblement unitaire antifasciste a été organisé en même temps dans un autre lieu, pour ne pas laisser la rue aux fascistes. Article publié sur paris-luttes.info.
Suivant Macron, Blanquer et Darmanin, Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, souhaite enquêter sur l’idéologie islamo-gauchiste qui gangrènerait les facs françaises. « Non ! » lui répondent les universitaires qui dénoncent une chasse aux sorcières et une notion (d’extrême droite) qui ne serait pas scientifique. Mais ne serait-il pas temps de changer de régime argumentatif ?
Il y a 77 ans, le 21 février 1944, 22 membres des Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI) étaient fusillés par les nazis au Mont Valérien. Trois avaient 18 ans, quatre avaient 19 ans. La seule femme du groupe – Olga Bancic, 32 ans – était transférée en Allemagne et décapitée dans la prison de Stuttgart le 10 mai 1944. Retour sur le destin d’un groupe qui a marqué l’histoire de la Résistance.
Après la manifestation antiparlementaire du 6 février 1934, conduite par les ligues d’extrême-droite, un vaste front antisfasciste se construit partout en France. Le 9 février, le Parti communiste appelle à manifester en masse place de la République, réclamant notamment l’arrestation du préfet de police Jean Chiappe et la dissolution des ligues fascistes. Des affrontements violents opposent flics et manifestants : plusieurs ouvriers sont abattus, des centaines sont blessés.
Enquête sur les milieux fascistes et néonazis de la région lyonnaise.
La journée de mobilisation débute à 10h du matin, la pluie et une armada de gendarme mobile sont présentes. Malgré cela, près de 150 personnes se mobilisent sur la Place du Peuple, située à quelques centaines de mètres du rassemblement de La Manif Pour Tous.
Samedi 30 Janvier à 10h La Manif Pour Tous ressort pour parader partout en France et notamment à Saint-Étienne, pour la défense d’un « ordre » morale puritain ainsi que celle d’un modèle de couple hétéro-patriarcale. Barrons-leur la route ! Rendez-vous samedi matin à 10h, place du Peuple.
Parce que les actions publiques d’hier nous éclairent aujourd’hui, il faut revenir sur un événement public initié par le conseil municipal au cours du précédent mandat du maire actuel de la ville de Saint-Étienne. Donner la parole à un homme politique, ici d’un pays étranger, représente l’aboutissement d’une rencontre tout en étant l’indicateur d’un soutien et d’une potentielle alliance politique. Il sera question ici d’exposer ce que représente cette rencontre à partir du terrain à Saint-Étienne.