infos générales sur le 42
10 janvier
18h-20h
au Remue-Méninges
le samedi 30 novembre à 16h au Treuil à Champboeuf.
Projection du documentaire : Fruits Amer : L’exploitation des saisonnier·es agricoles
suivie d’un débat !
Alors que le 11 novembre ont lieu les traditionnelles commémorations de la boucherie de 14-18, il semble intéressant de revenir sur les conflits ouvriers qui ont secoué la région stéphanoise pendant cette période. Dans cette émission du Gremmos, on s’interroge sur les rapports sociaux pendant la Grande guerre dans le bassin stéphanois, le quotidien des ouvriers stéphanois et les rapports patrons-ouvriers pendant le conflit.
Appel a une rencontre public le 9 Novembre 2024 à 18h30 à la Friterie afin de créer une association légaliste de défense des forêts
L’économie de la région stéphanoise a longtemps reposé sur la production d’armement. Entre la manufacture nationale d’armes, les grandes usines sidérurgiques produisant des blindages et des obus, les entreprises de la construction mécanique ou automobile sous-traitantes des armées ou même les sociétés des fabricants d’armes de chasse, nombre d’ouvriers ont dû, de gré ou de force, s’employer dans une industrie potentiellement destructrice.
À l’occasion des négociations pour la nouvelle convention d’assurance chômage, le comité CTPEP de Saint-Étienne se rassemblera sur la place Jean-Jaurès, le mercredi 30 octobre, à 18h. Mobilisons-nous pour défendre nos droits et en aquérir des nouveaux.
Benoît Malon naît à Précieux, à côté de Montbrison. Après une enfance rurale et misérable, il s’exile à Paris et est embauché en tant qu’ouvrier dans une teinturerie à Puteaux. Il participera à la grande grève des teinturiers de 1866. Militant de l’Internationale, Malon fit partie de la délégation de onze membres envoyée par le bureau de Paris pour assister au 1er congrès de l’AIT tenu à Genève du 3 au 8 septembre 1866. Arrêté et emprisonné plusieurs fois, il participera activement à la Commune de Paris de 1871.
Malgré ses difficultés financières, le département de la Loire a choisi d’investir 180 000 euros pour que la flamme olympique passe par ici. Alors, la machine à découdre a choisi Charlieu - parmi les 6 villes qui accueillent le passage de la flamme - pour une immersion sonore.
Enquêter sur le « sport » à Saint-Étienne et alentours (le thème du dossier du Couac n°13) conduit inévitablement à une activité mystérieuse qui, bien que toujours pratiquée, voit ses heures glorieuses jaunir sur les murs des Amicales et autres Cercles de Jeux : la Sarbacane, ou « jeu de la souffle ».
Depuis plusieurs semaines, l’agitation enfle dans les différents ateliers des usines Creusot-Loire de Saint-Chamond. Les restructurations quasi permanentes dans les usines Creusot-Loire du bassin, et notamment à Saint-Chamond depuis la constitution du groupe alimentent un sentiment d’inquiétude. Le 5 juin, les ouvrier.es débrayent et manifestent en ville.