Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
14 juillet 2024. La France célèbre sa fête nationale. Le roman historique, alimenté en beaux mythes républicains et en trompettes triomphantes depuis plus de deux siècles, sonne particulièrement faux en cette période post-électorale incertaine où l’on ne s’interroge pas sur un éventuel fascisme à venir mais plutôt sur la forme que celui-ci prendra.
... Et contre l’impunité de la Police ! Un an après la vague de révolte qui s’en est suivie. Justice pour toutes et tous !
Rassemblement jeudi 27 juin à 20h, place Jacquard.
Cantine pour cantiner le 19 Mai à Saint-Étienne. Cantine de soutien aux détenu-es. En soutien à l’association Idir Espoir et Solidarité, créée suite à la mort suspecte de Idir Mederres, au mitard de Corbas en septembre 2020.
La brochure « Touxtes street-médics » rassemble les informations essentielles afin de s’auto-former aux premiers secours militants.
Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1986 à Paris, Malik Oussekine, 22 ans, était matraqué à mort dans le hall d’un immeuble parisien où il s’était refugié, par deux policiers « voltigeurs » motocyclistes. Un anniveraire d’autant plus sinistre que les redoutables « voltigeurs », après avoir été interdits à la suite de leur forfait contre Malik Oussekine, ont été officiellement réintroduits en mars 2019. Et ont bien vite renoué avec les pratiques d’alors (lire ici).
Le 6 décembre, à 21 heures, un membre des forces spéciales de la police a arrêté son véhicule, visé un gamin de quinze ans et l’a abattu dans le quartier d’Exarchia, à Athènes. Cet événement a embrasé la Grèce pendant plusieurs semaines. Pour ne pas oublier, deux textes de cette époque publiés sur le site.
Le CASSIS (Collectif d’Autodéfense de Solidarité et de Soutien aux Inculpé.es Stéphanois.es) a enfin fait sa réunion de rentrée. Nouvelle organisation cette année !