Cantine de soutien pour les personnes incarcérées et leurs proches qui les soutiennent. Ce mois-ci, nous voulons soutenir le frère de Bilal, en prison suite à l’acharnement policier contre sa famille. Dimanche 21 mai à la Tablée.
Sortie d’un EP deux titres en solidarité avec Serge et les blessés de Sainte Soline.
« La répression est partout. On subit tous, avec des intensités variées, ce qui est défendu régulièrement par ceux qui sont contents de ce système comme sa violence « légitime » voire « nécessaire » »
En soutien aux deux manifestants de Saint-Soline dans le coma, aux blessé.e.s de Sainte-Soline et du mouvement des retraites, pour la fin des violences policières.
Communiqué des ami.es de S., camarade au pronostic vital engagé suite aux violences d’État lors de la manifestation du 25 mars à Sainte-Soline. À relayer le plus largement possible. N’hésitez pas à partager !
Mais merde, qu’est ce qu’on foutait là déjà ? Ah oui, on se bat pour la flotte, on se bat contre la privatisation du vivant, on se bat contre l’état qui défend les intérêts de quelques-uns plutôt que de garantir la vie de tou.tes.
Avant de s’aventurer en manifestation, il est absolument indispensable d’anticiper les moyens de se protéger des violences policières. Que l’on soit favorable ou non à l’action directe en manifestation ou à la confrontation avec les forces de l’ordre, la protection et l’autodéfense sont une question qu’on se doit d’aborder. Article publié sur le site du collectif Désarmons-les
+++ [podcast] : Fronde(s) ! — Comment se protéger des gaz lacrymogènes ?
L’Actu des Oublié.es entame 2023 avec une trilogie sur la lutte du peuple kurde. Cette semaine, nous revenons sur la révolution iranienne.
Avec les interventions de collectifs mobilisés contre les violences policières et d’un chercheur travaillant sur ces questions. Vendredi 20 janvier 2023, 18h30, à la Maison de quartier du Crêt de Roch (65 rue de l’éternité, Sainté).
Alexandre Mathieu est le nom du CRS qui a éborgné Laurent Théron le 15 septembre 2016 à Paris, Place de la République, en lançant dans une foule éparse une grenade à main de désencerclement. Il comparaissait aux Assises de Paris du 12 au 14 décembre 2022 pour « blessures volontaires ayant entraîné une infirmité permanente ».