Et c’est déjà le printemps à sainté et dans toute la France d’ailleurs, ça nous fait du bien ! Cette semaine il fait beau, les oiseaux oiseauillent et le pollen nous nique les yeux, les terrasses sont pleines et le mauvais temps ne sera bientôt plus une excuse légale pour justifier la déprime. Rien de tel qu’un souffle de beau temps pour se mettre en arrêt maladie et sortir, aller à des spectacles, des projections, des concerts, faire des rencontres, des visites, participer à des ateliers, aller au théâtre ou même au tribunal...
Deux ateliers d’antirep, le 11 avril à 18h à la MJC des tilleuls
A Sainté samedi 15 mars à l’appel du Comité Justice pour Mohamed Benmouna et de collectifs solidaires
Les permanences téléphoniques du CASSIS se tiennent un lundi sur deux, de 11h à 13h. *Nouveau numéro* : 07 51 27 45 57
Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1986 à Paris, Malik Oussekine, 22 ans, était matraqué à mort dans le hall d’un immeuble parisien où il s’était refugié, par deux policiers « voltigeurs » motocyclistes. Un anniveraire d’autant plus sinistre que les redoutables « voltigeurs », après avoir été interdits à la suite de leur forfait contre Malik Oussekine, ont été officiellement réintroduits en mars 2019. Et ont bien vite renoué avec les pratiques d’alors (lire ici).
Le 6 décembre, à 21 heures, un membre des forces spéciales de la police a arrêté son véhicule, visé un gamin de quinze ans et l’a abattu dans le quartier d’Exarchia, à Athènes. Cet événement a embrasé la Grèce pendant plusieurs semaines. Pour ne pas oublier, deux textes de cette époque publiés sur le site.
Se souvenir des histoires. Imaginer des soins communautaires.
Concert de soutien au CASSIS le 13 decembre à la Gueule Noire avec Peaufine, Solaine et les garcons, Grue & Non binary beats. Entrée et infokiosk antirep à prix libre. Ouverture des portes à 20h.
Victime de violences policières à Montélimar en mars 2023, Sonya a déposé plainte. Mais un an et demie plus tard, elle n’a aucune nouvelle. Personne n’a entendu son témoignage, et son signalement à l’IGPN a fini à la poubelle. En septembre, elle vient de saisir un juge d’instruction pour tenter de réveiller la justice.
Un événement présenté par Le cinéma Méliès Saint François, le Théâtre Le Verso, le Collectif X, la Quincaillerie Moderne. Vendredi 29 novembre à 19h et samedi 30 novembre à 20h30
Nanterre : ses bidonvilles, baraques de bois, de goudron et de zinc. Rencontre avec Mohammed Kenzi qui y a habité dans les années 60 et 70, on creuse à Nanterre pour y retrouver son histoire et l’on revient sur la révolte de ce mois de Juin. Un podcast de l’émission Mayday !
ATELIERS DE THÉÂTRE GRATUITS ET OUVERTS À TOUSTES, menés par le Collectif X et la Quincaillerie Moderne, autour du spectacle Cinq mains coupées, de Sophie Divry, un plaidoyer choral contre la violence de l’état lors du mouvement des gilets jaunes.
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)