Toutes les deux semaines, l’Actu des Oublié.e.s s’intéresse aux luttes populaires dans le monde. Cette semaine, nous explorons le concept d’abolition de la police ; la semaine prochaine, nous évoquerons les expérimentations concrètes.
Le Groupe d’Enquête Indépendant (GENI) fournit un travail de contre-enquête indépendant sur des crimes institutionnels et écologiques.
Quelques infos sur la situation et les projets du comité Justice pour Mohamed Benmouna. Nous avons besoin de soutien, merci de faire tourner au maximum !
Dans le cadre de la mobilisation nationale du 19 mars de la campagne unitaire « antiracisme et solidarités », à l’occasion de la Journée internationale contre le racisme. Manifestation à 18h. RDV devant la Médiathèque Tarentaize de St-Étienne
Au tout début du mois de janvier 2012, Wissam El Yamni a été retrouvé mort suite à une garde-à-vue au commissariat de Clermont Ferrand, après son interpellation dans la nuit du 31 décembre 2011. Une grande banderole a été accrochée dans la nuit de samedi sur le périph de Sainté en sa mémoire.
enquetecritique.org est une plateforme de recherches en sciences sociales, 100 % indépendante, autogérée et gratuite, depuis les luttes. Nous essayons de partager les méthodes d’enquête et leur cadre théorique en expliquant d’où parlent celles et ceux qui mènent les recherches et en dessinant des pistes politiques d’analyse, d’organisation et d’action collective à partir des résultats.
Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1986 à Paris, Malik Oussekine, 22 ans, était matraqué à mort dans le hall d’un immeuble parisien où il s’était refugié, par deux policiers « voltigeurs » motocyclistes. Un anniveraire d’autant plus sinistre que les redoutables « voltigeurs », après avoir été interdits à la suite de leur forfait contre Malik Oussekine, ont été officiellement réintroduits en mars 2019. Et ont bien vite renoué avec les pratiques d’alors (lire ici).
Le 6 décembre, à 21 heures, un membre des forces spéciales de la police a arrêté son véhicule, visé un gamin de quinze ans et l’a abattu dans le quartier d’Exarchia, à Athènes. Cet événement a embrasé la Grèce pendant plusieurs semaines. Pour ne pas oublier, deux textes de cette époque publiés sur le site.
Rejoignez-nous pour la marche commémorative annuelle qui a lieu le samedi 27 novembre 2021. Départ 14H : métro Charpenne Lyon-Villeurbanne
Appel National à un weekend d’actions et d’échanges à Marseille les 2, 3 et 4 décembre 2021 en mémoire de Zineb Redouane et contre les violences policières.
La police est un appendice de l’État démocratique, qui est lui-même un appendice du capitalisme. L’ordre au nom duquel les gouvernements envoient policiers et gendarmes réprimer les mouvements sociaux se revendique du bien-public, alors qu’il n’a d’autres objectifs que la circulation des marchandises et l’accumulation de plus-value – ce qui est tout autre chose. Du point de vue de la contestation des actuels rapports sociaux, l’activité des « forces de l’ordre », autrement dit des agents détenteurs de la violence capitaliste légalisée, ne saurait être considérée comme un « travail normal ».
Projection & discussion en présence du réalisateur, samedi 2 octobre à la Gueule noire.
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)