Dimanche 22 juin de 17h à 19h à la bibli l’Hérissé‧e
Fille d’une servante et certainement du fils des châtelains chez qui sa mère travaille, Louise Michel naît au château de Vroncourt (Haute-Marne). Elle grandit auprès de sa mère, choyée par « ses grands-parents », recevant une éducation libérale et une bonne instruction.
Avec la conviction que patriarcat et technologies sont des arcanes du pouvoir qui nous enserrent et contrôlent nos corps et nos esprits, que le genre est un élément majeur de la séparation et la domination des vivant.es, comment faire vivre des perspectives de lutte contre le genre dans une critique anti-industrielle contre la technologie ?
Le 1er mai 1886, la pression syndicale permet à environ 200 000 travailleurs américains d’obtenir la journée de huit heures. Mais d’autres, moins chanceux, au nombre d’environ 340 000, doivent faire grève pour forcer leur employeur à céder.
Se réapproprier l’histoire sociale et libertaire de notre espace de vie.
Information concernant la tenue de la première BULES (Balade Urbaine Libertaire de l’Espace Stéphanois), le samedi le 26 avril de 16 h à 19 h.
Ce texte a été publié en 1991 dans le zine NN, soit Nomen Nescio (« nom inconnu ») la locution latine utilisée aux Pays-Bas par les flics pour désigner une personne sous X. Il fait le récit de luttes qui, entre 1984 et 1986 à Amsterdam, ont chahuté la ville dans sa candidature pour accueillir les JOP d’été 1992. En PDF imprimable en fin d’article.
On organise un camp tout le mois de septembre 2025, à l’ancienne gare de Luméville près de Bure !
La Commune de Saint-Étienne eut lieu entre le 24 et le 28 mars 1871, après plusieurs jours d’agitation. Le 24 mars une centaine de manifestant.e.s, rejoints par la Garde Nationale et la foule, investissent l’Hôtel de ville et hissent sous la coupole le drapeau rouge.
Des brèves du désordre contre la guerre et la répression (2014 – 2025). Précédées de « Carnet de route » (publié en 2018), à propos d’antimilitarisme, d’anarchie et de perspectives insurrectionnelles autonomes.
Fils d’un ouvrier cordonnier et militant actif de la chambre syndicale des passementiers, Régis Faure fut aussi un des anarchistes les plus en vue de la région de Saint-Étienne. Membre du cercle des Outlaws, inculpé et condamné à un an de prison lors du « procès des 66 » de Lyon en 1883. Infatigable, il sera l’un des protagonistes de la grande grève insurrectionnelle des passementier.e.s de 1899.