« Nous écrivons ceci en tant que travailleurs, étudiants, agriculteurs, parents - en tant que Palestiniens, Palestiniens queers ».
Décryptage juridique partiel de la loi Darmanin, dite « loi immigration » débattue il y peu au Sénat. Présentée comme une loi du « en même temps », ce 29e texte sur l’immigration en moins de 40 ans n’est en rien « équilibré » comme se plaisent à le dire gouvernants et médias en tout genre.
Rassemblement le 3 décembre 2023 à 11 heures, place Jean Jaurès à Saint-Étienne, à l’appel du Collectif stéphanois “Pour que Personne ne dorme à la Rue” et du Collectif national Uni.es contre l’immigration jetable.
Vendredi 1er décembre et samedi 9 décembre, chantier collectif à la Pistoche.
Manfestation contre France Travail et son monde (RSA sous conditions, etc.). Le 2 décembre prochain à Saint-Étienne (Départ de la gare de Chateaucreux, à 11h)
Nouvelle attaque contre le mouvement No Tav !
Hier matin les presidios de San Didero et du Mulini ont été perquisitionnés et interdits d’accès par la police italienne.
Dévastation des montagnes en cours dans le Valsusa !
Toutes les deux semaines, l’Actu des Oublié.es s’intéresse aux luttes dans le monde. Cette semaine, à l’occasion de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes, nous évoquons le mouvement féministe japonais.
Premier gros contrat pour Verney-Carron : fournir 12000 fusils à l’Ukraine, pour 36 millions d’euros.
Plus de 30 millions d’animaux sont tués par an en France pour le foie gras alors que des alternatives végétales existent.
Venez nous rencontrer et déguster l’une d’elles lors de cette action proposée par L214. Samedi 16 décembre de 11h à 13h place Jean Jaurès.
Mercredi 29 novembre à l’occasion de la journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Pour un cessez-le-feu immédiat, total et permanent ! Départ à 18h de la bourse du travail.
Venez découvrir l’épisode 2 de La Vie Plus Belle, le feuilleton stéphanois autogéré ★ RDV Lundi 27 novembre, à 20h20 au Méliès Jean Jaurès, entrée à prix libre ★
Venez découvrir l’épisode 3 de La Vie Plus Belle, le feuilleton stéphanois autogéré ★ RDV Lundi 4 décembre, à 20h20 au Méliès Jean Jaurès, séance à prix libre ★
Machefer,
En route pour le numéro 2 ?
A la cale (salle du haut), lundi 27 novembre à 19h.
Histoire de dix ans du naufrage réactionnaire d’un mouvement se prétendant « libertaire », à travers ses acteur·ices et ses publications.
Sur le projet de loi Plein Emploi et la création de France Travail
La fable des grenouilles qui finissent cuites pour ne pas avoir réagi aux petites augmentations de contraintes subies appliquée aux atteintes à la Sécu et à la généralisation de la vidéosurveillance...
À la fin de l’année 1947, les grèves se multiplient, à Saint-Étienne comme ailleurs, préfigurant la grande grève des mineurs de 1948. Elles culminent avec le rassemblement du 29 novembre, aux abords de la Préfecture.
Comment les auteurs d’extrême-droite ont décrit et pensé la mine et les mineurs du bassin minier stéphanois ? C’est la question à laquelle on essaye de répondre dans cette émission du Gremmos. Bien loin des imaginaires liés aux luttes et conquêtes sociales véhiculés par l’extrême-gauche, les poètes et écrivains d’extrême-droite ont dépeint les mineurs comme des travailleurs « besogneux », prêts à se sacrifier pour la patrie.
La grève des passementiers de Saint-Étienne se préparait depuis plusieurs années. L’insurrection des canuts lyonnais, en 1831, avait fortement influencé les passementiers de Saint-Étienne. Ces deux grandes villes, distantes de moins de soixante kilomètres, étaient déjà reliées par un chemin de fer. L’industrie du ruban, à Saint-Étienne, et celle des soieries de Lyon étaient deux industries sœurs et les conditions de travail étaient semblables. Frappés par la crise, les rubaniers stéphanois se mettent en grève en 1834.
Cultiver sans fumier, c’est possible ? Supprimer les importations de fertilisants est un des plus grands défis auquel l’agriculture doit faire face aujourd’hui. Quelques éléments de réponse dans ce petit manuel de maraîchage.
Incontournables de beaucoup de rendez-vous de lutte, des points de contrôles policiers en amont gâchent l’ambiance. Il est intéressant de trouver des stratégies pour diminuer cet outil de l’État ou s’en protéger collectivement.
Savoir où sont placées les caméras, comment elles fonctionnent, comment leurs images sont transmises et consultées et comment les technologies évoluent, c’est se donner des moyens concret de pouvoir, avec plus de confiance, s’en prendre à la vidéo-surveillance et aux intérêts qu’elle protège.