Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Un point de vue décolonial pour faire face aux mentalités individualistes « modernes » et libérales, des mentalités inadaptées à l’interdépendance de la vie quotidienne.
« L’imposition violente du pouvoir colonial s’est appuyée sur l’enfermement et l’élimination des personnes handicapées et des personnes racialisées dans le cadre de la création d’un État carcéral, des histoires largement occultées de l’oppression des personnes handicapées dans le contexte colonial, ainsi que ses interconnexions avec l’oppression raciale. »
Trop de personnes voient l’histoire simplement dans le passé. Elles ne réalisent pas que l’histoire, c’est maintenant. Le colonialisme n’est pas un évènement, mais une structure (Patrick Wolfe).
Le 21 février 1965, Malcolm X, l’une des figures les plus puissantes du mouvement noir était assassiné aux USA. Orateur de talent, doté d’un esprit brillant et intuitif, ainsi que d’une grande probité morale et intellectuelle, l’ex-leader de la « Nation of Islam » ne se contentait pas de discours incantatoires, son engagement sans relâche au service de sa communauté et des droits de l’Homme reflétait la personnalité d’un homme courageux, vertébré par de fortes convictions.
Ce mardi 5 décembre, Eric Zemmour a officiellement annoncé la création du Groupe de Sécurité de Reconquête. Un pas après l’autre, l’extrême droite se déploie dans le paysage politique et dans la rue.
Alors qu’elle rentre d’une longue journée de travail comme couturière, Rosa Parks refuse de céder sa place à un passager "blanc" comme lui oblige la loi ségrégationniste et raciste de l’état de l’Alabama. Arrêtée par la police et condamnée pour « conduite désordonnée », elle ne se résigne pas à être une victime de plus du racisme ordinaire.
Histoire de dix ans du naufrage réactionnaire d’un mouvement se prétendant « libertaire », à travers ses acteur·ices et ses publications.
Colloque organisé par le centre de recherche Max Weber pour les quarante ans de la marche pour l’égalité et contre le racisme de 1983. Ce colloque se déroulera en trois journées tématiques : « La Marche de 1983 : quelles (re)connaissances ? », « Effets et héritages de la Marche » et enfin « Actualités des luttes pour l’égalité et contre le racisme ». Les 19, 20 et 21 octobre.