La ville et la métropole cèdent toutes leurs données numériques à la multinationale Suez qui crée cette plate-forme sur laquelle sont stockées les données des flux de circulation, des données de 320 caméras (et de la vidéo-verbalisation), de la géolocalisation, des réseaux sociaux, celles de la consommation électrique publique et privée issue des compteurs Linky, des objets connectés et bientôt de la reconnaissance faciale...
Il n’est pas possible de savoir si ces informations servent au contrôle et à la répression, et si Suez revend nos données personnelles.
L’informatisation de la ville en automatique marquera le début de la robotisation de nos conditions d’existence, la numérisation de nos vies.
On va pas se laisser faire !
Bloquons les rouages des machines numériques !
Article publié sur la page Halte au contrôle numérique.
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