Le 7 mars dernier, il y a moins d’une semaine, les flics ont mis les gros moyens pour protéger le local de la fasciste Sophie Robert, alors que se tenait une manif antifa qui a laissé quelques traces dans la ville. Ceci montre une fois de plus que ce qui ne peut pas se faire lors d’une manif annoncée en pleine journée peut par contre se faire en toute tranquilité de nuit, seul.e ou à quelques-un.e.s.
Le Progrès affirme que « c’est la quatrième fois en moins d’un mois que le local de campagne de Sophie Robert, tête de liste au Rassemblement National (RN) aux élections municipales de Saint-Étienne, est ciblé par des dégradations. Après les projectiles, les œufs et la farine, les marqueurs et le rouge à lèvres […] ».
Article publié sur le site Sans attendre demain.
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