Jeudi 20 juin : un candidat RN aurait fait un AVC suite à une « attaque coordonnée » de l’extrême gauche lors d’un tractage. L’info est d’abord diffusée par France Bleu Saint-Étienne Loire, sans vérification journalistique et reprise en boucle par les médias nationaux. Marine Le Pen accuse les soi-disant « milices d’ultra-gauche ».
Sauf que petit à petit, la version du RN change : on passe de l’agression sauvage à « une prise à partie » avec de l’eau et de la farine, de l’AVC au « coup de stress et mini AVC », de 8 jours à 2 jours d’ITT.
La polémique dégonfle donc rapidement mais le mal est déjà fait : les fascistes sont les victimes.
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