Actualités des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Vendredi 17 et samedi 18 novembre au Château de Goutelas (42130 Marcoux). Rencontres, plateaux radio, spectacles, concerts et performances avec la complicité de l’écrivaine et sociologue franco-turque Pinar Selek.
Le 10 novembre, le comité de soutien de l’école publique des frères Chappe organise une soirée à la Cale. Concerts, repas, buvette pour soutenir les familles hébergées par cette association.
Retrouvons-nous à la Cale, le mercredi 8 novembre 2023 à 20h00 pour des chants, un court exposé sur la militarisation ambiante mais aussi pour trouver ensemble des perspectives d’y résister.
Manifestation de soutien au peuple palestinien, samedi 4 novembre à 11h place Chavanelle à Saint-Étienne.
Appel unitaire signé par 19 organisations.
Rendez-vous au Remue-méninges comme tous les premiers mercredis de chaque mois, à 20h. Le thème de ce mercredi 1er novembre sera celui du logement, de l’espace et du contrôle territorial mené par l’action publique du logement.
Le vaisseau de l’Union continue son voyage vérolé, cerné de mirages et de paradoxes. Et espérant des jours meilleurs... ChacunE est à l’affût derrière son hublot. Mais allons-nous quelque part ?
C’est la chronique d’un groupe qui se réunit tous les mercredis dans un local loué depuis une vingtaine d’années à Saint-Étienne. Il y avait tout un tas de raisons de faire un nouveau groupe cette année : avoir un rendez-vous supplémentaire dans la semaine, tenter encore de dire des choses qui ont un peu de sens pour soi, entendre les autres là où ils sont, rencontrer de nouveaux visages ; donc les membres du groupe cherchent encore le comment de cette affaire et en cherchant, des boutures d’existences tiennent tête, résistent tant bien que mal, se donnent un peu d’air dans la métropole où il est de moins en moins aisé de vivre lorsqu’on a pas la gueule à start-up.
Extrait du dernier livre de Lukas Stella, intitulé « Double monde, Confinement en confusion, démence sous air conditionné ». (Livre gratuit)
Agrippés à nos croyances normalisantes, nous nous retrouvons confinés dans nos certitudes. Le monde qu’on nous présente dans ses représentations spectaculaires, est une escroquerie, celui qu’on se représente soi-même une illusion. Cette réalité mise en scène sous air conditionné, réfléchit l’image de soi selon l’air qu’on lui donne dans les apparences trompeuses de la société du spectacle. Un deuxième monde apparaît qui se substitue au temps vécu qui nous échappe.
Dans la protestation de cet hiver contre les retraites comme dans les mouvements sociaux précédents, les syndicats font l’objet de critiques : ils seraient non représentatifs, muselleraient la prise de parole et l’expression des revendications, voire feraient le jeu du pouvoir. Couac a discuté avec Denis, syndicaliste pendant plus de trente-cinq ans dans le secteur de l’éducation, de ce que signifie l’action syndicale, des raisons de la fragilisation et de la faillite des appareils syndicaux, mais aussi de ce que le syndicalisme peut apporter dans les luttes actuelles et à venir.
Chaque événement démesuré voit naître ses détracteurs et ses réducteurs. Ils considèrent (comme le Chat Botté de la fable qui mange l’ogre après l’avoir réduit en souris) que réduire la représentation de ce qu’il se passe pour le mettre à sa portée serait en mesure de donner les moyens de triompher sur ce qui terrifierait, si toutefois on le regardait dans toutes ses dimensions. Ce triomphe obtenu au nom de la peur condamne à l’impuissance et la pandémie de Covid-19 qui est en train de se répandre sur la planète ne fait pas exception à la règle.
Guides pratiques, livrets...
La seconde édition du Guide d’autodéfense numérique, mise à jour et augmentée, vient de paraître. Cet ouvrage vise à présenter « l’absence d’intimité » du monde numérique et des méthodes pour ajuster ses pratiques en conséquence.
Beaucoup d’entre nous utilisent quotidiennement, et souvent avec une certaine insouciance, les technologies numériques.
Pourtant, ce qui a motivé leur création et leur développement, tout autant que certaines affaires récentes, mérite qu’on apprenne à désamorcer le potentiel de surveillance et de répression dont elles sont toutes porteuses.
Cette brochure, terminée fin 2007, a été écrite à partir d’expériences des luttes des dernières années. Actuellement et depuis 2003, la durée maximum de rétention est de 32 jours. Dans le cadre d’une politique commune d’immigration au niveau européen, l’Etat français veut rallonger cette durée de plusieurs mois. Une nouvelle loi sera débattue courant 2008.
Mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
En France, avant 1994, l’article 64 du code pénal, offrait deux possibilités :
l‘accusé était jugé « irresponsable » de ses actes, il était soigné, il allait en hôpital psychiatrique.
l‘accusé était jugé « responsable » de ses actes, il était puni, il allait en prison.
En Allemagne, le 17 juin est une journée de Mémoire nationale appelée également « Tag der Einheit ». A Berlin l’une des plus prestigieuses avenues en porte le nom.
Le 17 juin 1953 les ouvriers en ex-Allemagne de l’Est (RDA, gouvernée par le SED communiste) sont sortis dans les rues des grandes villes industrielles (Berlin, Bielefeld, Halle, Magdeburg...) pour réclamer les ELECTIONS LIBRES et la REUNIFICATION (déjà !!!).
Rubrique réservée aux articles concernant la « Welcome Map Loire »
La Welcome Map Loire sera présentée à l’occasion de la rencontre anti-CRA organisée à la Gueule noire le vendredi 18 février 2022.
Une carte interactive de lieux ressources pour les personnes en situation de précarité et celles qui souhaitent les accompagner. En particulier à tous·tes les exilé·es qui arrivent à Saint-Étienne et dans la Loire : bienvenue !