Actualités des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Rencontre avec Maria Abu Daqqa, résistante à l’occupation israélienne et soutien indéfectible aux prisonnières politiques palestiniennes. Samedi 7 octobre, 14h30 à l’amicale laïque de Beaubrun.
Compte rendu du procès des dégradations de la mairie et du poste de police municipale à Rive de Gier qui a eu lieu le 28 septembre, et infos sur des condamnations qui ont été pronncées depuis fin juillet, en lien avec les émeutes à la suite de la mort de Nahel, dans la région autour de Saint-Étienne.
Articles parus sur le blog Infos Prison Saint Etienne.
Nous sommes très heureux d’accueillir Nedjib Sidi Moussa à Saint-Étienne le vendredi 6 octobre au Remue-Méninges (43 rue Michelet, Saint-Étienne) pour une soirée animée par la librairie Lune et l’Autre.
Rencontre avec une militante de Solidarity Collectives, une organisation ukrainienne anti autoritaire de résistance et de lutte, le mercredi 4 octobre, salle Sacco & Vanzetti, à la bourse du travail de Saint-Étienne.
Après l’événement organisé les 15 et 16 septembre derniers, le collectif Halte au contrôle numérique reprend ses réunions mensuelles. Celles-ci se tiennent le dernier jeudi de chaque mois à 18h, à la Cale (16 rue Royet, Saint-Étienne).
Prochaine réunion, ce jeudi 28 septembre.
Lundi 04 novembre, le « comité de suivi de l’école inclusive » a réuni au ministère de l’Éducation, le ministre et associations en charge de la scolarisation des enfants en situation de handicap. Si le ministre s’est jeté des fleurs en vantant les résultats supposés des réformes entreprises en la matière, la situation sur le terrain semble toute autre. Couac est allé discuter avec Taline Bouagal, AESH et représentante syndicale dans la Loire.
Samedi 19 octobre, un rassemblement était organisé pour dénoncer l’absence d’action des pouvoirs publics à Sainté face à la situation de près de 300 personnes contraintes de dormir dans les parcs, les squats ou sous les ponts. Couac s’est penché sur la situation des enfants (environ 60), qu’on semble vouloir empêcher d’accéder aux droits les plus élémentaires : dormir sous un toit, être scolarisé-e, etc.
L’heure n’est pas à une écologie de comptoir où on culpabiliserait ceux qui ne font pas le tri, l’heure est à une écologie radicale. On ne peut pas continuer dans un monde capitaliste, il faut s’attaquer aux racines du problème et arrêter de se contenter des guirlandes aux arbres. Continuer avec la surproduction, l’exploitation animale, à vivre dans la société du pétrole, c’est ne pas s’attaquer à la base du problème.
Antonin Bernanos est un militant antifasciste autonome. Incarcéré durant près de deux ans suite à l’affaire de la voiture de police brûlée Quai de Valmy en 2016, il est de nouveau en détention – provisoire – depuis six mois suite à la plainte d’un hooligan d’extrême-droite dont le groupe a été mis en déroute lors d’une confrontation de rue avec des antifascistes. Dans cette lettre, Antonin revient sur l’infiltration des groupes d’extrême-droite durant la phase initiale du soulèvement, et sur la manière dont celle-ci s’articule étroitement avec la stratégie répressive de l’État – qu’il s’agisse de répression policière ou de propagande médiatique.
Face à des conditions de travail très dégradées et une impossibilité de s’occuper décemment des résident.e.s, des personnels des Établissement d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes (EHPAD) stéphanois tentent d’alerter les habitant.e.s et la municipalité. Celle-ci, non contente de rester sourde à leurs appels, les empêche d’exercer leur droit de grève. Laisser crever et faire crever. Un article du Couac paru au printemps 2018.
Guides pratiques, livrets...
La seconde édition du Guide d’autodéfense numérique, mise à jour et augmentée, vient de paraître. Cet ouvrage vise à présenter « l’absence d’intimité » du monde numérique et des méthodes pour ajuster ses pratiques en conséquence.
Beaucoup d’entre nous utilisent quotidiennement, et souvent avec une certaine insouciance, les technologies numériques.
Pourtant, ce qui a motivé leur création et leur développement, tout autant que certaines affaires récentes, mérite qu’on apprenne à désamorcer le potentiel de surveillance et de répression dont elles sont toutes porteuses.
Cette brochure, terminée fin 2007, a été écrite à partir d’expériences des luttes des dernières années. Actuellement et depuis 2003, la durée maximum de rétention est de 32 jours. Dans le cadre d’une politique commune d’immigration au niveau européen, l’Etat français veut rallonger cette durée de plusieurs mois. Une nouvelle loi sera débattue courant 2008.
Mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Ceux qui luttent pour l’émancipation de l’homme et la fin de l’oppression marchande n’ont pas besoin de se connaître pour se reconnaître. Ma brève rencontre avec André Aubry a suffi pour me confirmer que partout dans le monde s’élèvent des voix capables de rompre le formidable silence qui condamne chacun à l’isolement et à la peur dans le seul but de lui obscurcir la conscience et de l’envoyer grossir le troupeau des résignés.
Les ministres siamois de l’Intérieur, instaurent le couvre-feu dans les quartiers ouvriers et populaires.
Il y a plus de 120 ans, Eugène POTTIER, ouvrier, membre de la Commune de Paris (1871), auteur des paroles de l’Internationale répondait déjà à cette propagande fallacieuse des patrons, des bourges et des aristos, au sujet des droits et devoirs, par ce texte magnifique :
Le physicien Joseph Rotblat, Prix Nobel de la paix en 1995 est décédé le 31 août 2005. Né est le 4 novembre 1908 à Varsovie. Il étudie la physique et quitte la Pologne lors l’invasion allemande et s’exile en Grande-Bretagne. Sa femme, trop malade pour voyager, est arrêtée par les nazis et meurt dans un camp de concentration.
En France, avant 1994, l’article 64 du code pénal, offrait deux possibilités :
l‘accusé était jugé « irresponsable » de ses actes, il était soigné, il allait en hôpital psychiatrique.
l‘accusé était jugé « responsable » de ses actes, il était puni, il allait en prison.
En Allemagne, le 17 juin est une journée de Mémoire nationale appelée également « Tag der Einheit ». A Berlin l’une des plus prestigieuses avenues en porte le nom.
Le 17 juin 1953 les ouvriers en ex-Allemagne de l’Est (RDA, gouvernée par le SED communiste) sont sortis dans les rues des grandes villes industrielles (Berlin, Bielefeld, Halle, Magdeburg...) pour réclamer les ELECTIONS LIBRES et la REUNIFICATION (déjà !!!).
Rubrique réservée aux articles concernant la « Welcome Map Loire »
La Welcome Map Loire sera présentée à l’occasion de la rencontre anti-CRA organisée à la Gueule noire le vendredi 18 février 2022.
Une carte interactive de lieux ressources pour les personnes en situation de précarité et celles qui souhaitent les accompagner. En particulier à tous·tes les exilé·es qui arrivent à Saint-Étienne et dans la Loire : bienvenue !