Actualités des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Le samedi 25 mai 2024 aura lieu notre deuxième journée festive et d’informations, la première ayant eu lieu le 6 mai 2023. Rendez-vous à la salle polyvalente d’Échassière à partir de 12h. Programme précis dans l’article.
Contre la répression coloniale et pour le droit à l’autodermination et à l’indépendance du peuple kanak. Rassemblement sur la place du Peuple, dimanche 19 mai à 15h.
Appel à deux jours d’actions pour perturber le passage de la Flamme Olympique dans la Loire le 21 et 22 juin 2024.
Suite aux rassemblements du 5 mai dernier, ayant réuni environ 200 personnes à Saint-Étienne et près de 25 000 personnes en France, le CATS (Collectif d’Actions Trans de Sainté) organise un 2e temps fort pour riposter face à la montée de la transphobie le samedi 18 mai 2024 à 13h à la Bourse du Travail.
Rencontre avec Montassir Sakhi au sujet de la révolution syrienne et des départs pour le Djihad le vendredi 24 mai à 18h à l’Amicale laïque du Crêt de Roc
Si la municipalité et les autorités publiques imaginent une ville qui a souvent peu à voir avec la vie réelle de ses habitant’es, ce sont avant tout les activités et engagements de celleux-ci qui font de Saint-Étienne la Synthé qu’on connaît et dans laquelle on a envie d’habiter. Agnès, Jeannette et S., qui arpentent et font vivre les rues de Saint-Étienne depuis bien des années, nous livrent un aperçu du milieu associatif, informel et punk stéphanois et une analyse de l’évolution de la ville.
Je serais de nouveau en France, Suisse et Belgique de début juin à fin août et ferait une tournée de soutien au portail Contrapoder.org, Indymedia Vénézuela et à l’Espace Contreculturel Autogéré qui a ouvert en novembre dans une ferme de 4 hectares des Andes Vénézuéliennes sous forme de coopérative culturelle et agricole « La Cooperactiva ».
Les voisins vigilants ont l’œil jaune et grand ouvert, c’est même à ça qu’on les reconnaît. À Saint-Étienne, les quartiers La Bérardière, la Chèvre, la Colline des pères ou encore Bel-air vivent sous l’œil éclatant du dispositif « Stéphanois vigilants », où on peut se surveiller mutuellement afin, selon l’objectif affiché par la police, de diminuer le nombre de cambriolages dans ces quartiers.
A l’heure où le numérique occupe une place toujours croissante dans notre quotidien, Gaël Perdriau et son équipe rêvent de transformer notre cité stéphanoise en « ville connectée », n’hésitant pas pour ce faire à employer les grands moyens.
Une brève « poésie » contributive à la guerre en cours
Et puisque l’époque semble soudain vouloir faire anniversaire en rejouant cinquante ans plus tard un fameux mois de mai du siècle dernier, puisque le réel, qui n’a cessé d’être relégué toujours un peu plus au loin depuis cinquante ans au moins, semble vouloir faire retour sur la scène-monde, autrement dit puisqu’en ces temps troublés la révolution refait quelque peu parler d’elle alors même que le spectacle-marchant n’en finissait plus devant ça d’annoncer sa victoire définitive, en particulier médiatiquement, il nous a semblé de quelque importance, ici, d’interroger la situation présente dans ce qui la lie ou la distingue de l’année 1968.
Guides pratiques, livrets...
Un bouquin de 192 pages pour savoir que faire lorsqu’un proche est incarcéré, comment est délivré un permis de visite, comment se déroule un parloir, quels sont les droits des proches des personnes détenues...
La seconde édition du Guide d’autodéfense numérique, mise à jour et augmentée, vient de paraître. Cet ouvrage vise à présenter « l’absence d’intimité » du monde numérique et des méthodes pour ajuster ses pratiques en conséquence.
Beaucoup d’entre nous utilisent quotidiennement, et souvent avec une certaine insouciance, les technologies numériques.
Pourtant, ce qui a motivé leur création et leur développement, tout autant que certaines affaires récentes, mérite qu’on apprenne à désamorcer le potentiel de surveillance et de répression dont elles sont toutes porteuses.
Cette brochure, terminée fin 2007, a été écrite à partir d’expériences des luttes des dernières années. Actuellement et depuis 2003, la durée maximum de rétention est de 32 jours. Dans le cadre d’une politique commune d’immigration au niveau européen, l’Etat français veut rallonger cette durée de plusieurs mois. Une nouvelle loi sera débattue courant 2008.
Mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
En France, avant 1994, l’article 64 du code pénal, offrait deux possibilités :
l‘accusé était jugé « irresponsable » de ses actes, il était soigné, il allait en hôpital psychiatrique.
l‘accusé était jugé « responsable » de ses actes, il était puni, il allait en prison.
En Allemagne, le 17 juin est une journée de Mémoire nationale appelée également « Tag der Einheit ». A Berlin l’une des plus prestigieuses avenues en porte le nom.
Le 17 juin 1953 les ouvriers en ex-Allemagne de l’Est (RDA, gouvernée par le SED communiste) sont sortis dans les rues des grandes villes industrielles (Berlin, Bielefeld, Halle, Magdeburg...) pour réclamer les ELECTIONS LIBRES et la REUNIFICATION (déjà !!!).
Rubrique réservée aux articles concernant la « Welcome Map Loire »
Une heure d’émission radio autour de Bernard, avec en toile de fond une étude sociale et géographique de la ville de Sainté.
La Welcome Map Loire sera présentée à l’occasion de la rencontre anti-CRA organisée à la Gueule noire le vendredi 18 février 2022.
Une carte interactive de lieux ressources pour les personnes en situation de précarité et celles qui souhaitent les accompagner. En particulier à tous·tes les exilé·es qui arrivent à Saint-Étienne et dans la Loire : bienvenue !