Actualités des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Le Club des Citoyens et le Collectif des Sans Voix vous convient à un débat citoyen participatif sur la démocratie et l’abstention. Espace Maurice Desplaces à Feurs, le vendredi 17 novembre à 20h.
À Saint-Étienne, on est plusieur.es queer et féministes, à avoir envie de se retrouver autour de cet appel et à s’organiser pour que la dénonciation du génocide en cours à Gaza soit une question centrale dans les manifs du 25 novembre prochain. On propose de se retrouver le mardi 14 novembre à 19h (Bourse du Travail, local de la CNT) pour en discuter.
L’Actu des Oublié.es évoque toutes les deux semaines les luttes à l’internationale. CCette semaine, cap sur l’Espagne et la Grèce pour nous intéresser à la gentrification et à la touristification dans les villes européennes. Comment s’installe la gentrification, comment ronge t-elle les espaces publics, expulse les précaires et déstructure l’économie locale. Surtout, au profit de qui et dans quel but ? Comment s’y opposer ?
Réunion autour du zine MACHEFER pour parler de la suite et des envies d’action. Lundi 6 novembre à 19h à la CALE, salle du haut.
Vendredi 17 et samedi 18 novembre au Château de Goutelas (42130 Marcoux). Rencontres, plateaux radio, spectacles, concerts et performances avec la complicité de l’écrivaine et sociologue franco-turque Pinar Selek.
Sous Macron, l’économie est reine et les promesses écologiques du vent. Ou du greenwashing pour les multinationales. Bien réelle, la répression s’abat sur les classes populaires et les luttes. Violences policières, Zad détruites, squats menacés... Dans les immeubles de New-York, Bologne et peut-être bientôt de Rennes ou Paris, les menaces d’expulsions locatives poussent à la solidarité. Se transformera-t-elle en mouvement politique ?
Raoul Vaneigem lance un appel à l’autodéfense sanitaire afin de destituer l’État par la pratique du soin et de l’entraide. Il publie un ouvrage le 12 juin aux éditions Grevis intitulé « L’insurrection de la vie quotidienne » et a récemment publié aux éditions Libertalia « Appel à la vie contre la tyrannie étatique et marchande ».
Resterons-nous libres de vous informer encore longtemps ? Cette quatorzième Gazette s’ouvre par la fin. La fin du parcours législatif de la loi Avia, promesse de censure et d’arbitraire. On s’interroge. Est-il permis d’évoquer les sabotages d’antennes et de câbles attribués à l’« ultragauche » par les renseignements ? D’afficher les startuppers pour qui l’école numérique est une promesse d’argent ? De critiquer la collapsologie ainsi que Martin Hirsh et ses errements ? Ou serons-nous rattrapés par les chaussettes à clous pour crime de pensée ? Les manifestant·es du 11 mai l’ont appris à leurs dépens. L’ambiance est policière.
Quelques notes à propos de la quarantaine comme mode de gestion de la pandémie.
Il s’agit ici de mieux comprendre le statut de la quarantaine telle qu’elle est proposée pour l’après-confinement en France, en lien avec les politiques qui visent à maintenir à l’écart une partie de la population et se pratiquent en ce moment sous des formes diverses à peu près partout dans le monde.
Dans cette Gazette, on découvre tout ce qu’on risque de conserver de l’état d’urgence sanitaire, on voyage à travers la France en lutte, on observe les dessous peu attrayants du financement de la recherche scientifique, on se rend compte qu’on lance des expériences de psycho sociale à l’école et on évite de se précipiter sur la nicotine, quelle que soit sa forme.
Guides pratiques, livrets...
La seconde édition du Guide d’autodéfense numérique, mise à jour et augmentée, vient de paraître. Cet ouvrage vise à présenter « l’absence d’intimité » du monde numérique et des méthodes pour ajuster ses pratiques en conséquence.
Beaucoup d’entre nous utilisent quotidiennement, et souvent avec une certaine insouciance, les technologies numériques.
Pourtant, ce qui a motivé leur création et leur développement, tout autant que certaines affaires récentes, mérite qu’on apprenne à désamorcer le potentiel de surveillance et de répression dont elles sont toutes porteuses.
Cette brochure, terminée fin 2007, a été écrite à partir d’expériences des luttes des dernières années. Actuellement et depuis 2003, la durée maximum de rétention est de 32 jours. Dans le cadre d’une politique commune d’immigration au niveau européen, l’Etat français veut rallonger cette durée de plusieurs mois. Une nouvelle loi sera débattue courant 2008.
Mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
En France, avant 1994, l’article 64 du code pénal, offrait deux possibilités :
l‘accusé était jugé « irresponsable » de ses actes, il était soigné, il allait en hôpital psychiatrique.
l‘accusé était jugé « responsable » de ses actes, il était puni, il allait en prison.
En Allemagne, le 17 juin est une journée de Mémoire nationale appelée également « Tag der Einheit ». A Berlin l’une des plus prestigieuses avenues en porte le nom.
Le 17 juin 1953 les ouvriers en ex-Allemagne de l’Est (RDA, gouvernée par le SED communiste) sont sortis dans les rues des grandes villes industrielles (Berlin, Bielefeld, Halle, Magdeburg...) pour réclamer les ELECTIONS LIBRES et la REUNIFICATION (déjà !!!).
Rubrique réservée aux articles concernant la « Welcome Map Loire »
La Welcome Map Loire sera présentée à l’occasion de la rencontre anti-CRA organisée à la Gueule noire le vendredi 18 février 2022.
Une carte interactive de lieux ressources pour les personnes en situation de précarité et celles qui souhaitent les accompagner. En particulier à tous·tes les exilé·es qui arrivent à Saint-Étienne et dans la Loire : bienvenue !