Événement FB ici.


Mardi 29 janvier à 18h à l’amphi E.01.
Face aux augmentations des frais d’inscription, à la mise en place de la sélection et à la répression policière. Faisons entendre notre voix !
Communiqué des ex-occupant.es de l’Amphi.
Après une mobilisation fin janvier, des syndicats étudiants et enseignants de l’Université Jean Monnet appellent à un rassemblement le vendredi 1er mars 10h30 devant le site Tréfilerie de l’Université Jean Monnet. Leur communiqué est reproduit ici.
Lundi 19 novembre, Edouard Philippe annonçait que les droits d’inscription des nouveaux étudiants extra-européens seraient élevés 3 000 euros environ par mois, soit une multiplication par 16. Quelques jours auparavant, des représentants de l’Université de Lyon – dans laquelle l’Université Jean Monnet de Saint-Étienne va être dissoute au 1er janvier 2020 – faisaient preuve de moins de scrupules encore : l’objectif est de porter ces frais à 4 500 euros. Cette hausse a vocation à s’étendre à tous.
Vendredi 01 juin 2018, pendant le Fest’U (Festival Universitaire de St-Étienne) nous avons tenté d’interpeller les étudiants sur ce qu’il se passe dans les facs et les lycées partout en France. Des membres du Gueuloir (Journal stéphanois) avaient rédigé un texte qu’une étudiante devait lire sur scène après un concert, mais celle-ci en a été violemment empêchée.
L’occupation de l’amphi est repartie depuis lundi matin. La résistance s’organise. Venez nombreux.ses !!
Suite à L’AG du jeudi 05/04 à 16h00, nous, étudiant-e-s précaires et soutiens, avons décidé l’occupation de l’amphi E01 situé sur le campus Tréfilerie, Université Jean Monnet.
Mardi 12 mai, une Assemblée Générale réunissant près de 300 personnes a reconduit à la majorité, un blocage total. Cette A.G. était, comme toutes les autres, annoncée depuis une semaine par le président de l’université lui même sur l’ENT. Cette A.G. avait été organisée pendant une journée banalisée, afin que tous les étudiants puissent y assister sans que cela perturbe les cours.
Encore une journée bien remplie pour les grévistes étudiants de St-Etienne. Les grévistes toujours aussi déterminés, les cours ne reprendrons pas, la fac restera un espace de lutte et de réflexions.
Manifestation jeudi 19 février 2009 à 13H30 au départ de la faculté de la Métare
A l’échelon national, la coordination des universités a appelé, lundi 2 février, à une grève illimitée dans toutes les universités. Le vote de cette grève à été adopté depuis par bons nombres de facs.
Sur saint-Etienne, depuis le début du mois de janvier de l’année 2009, les étudiants et une partie des enseignants de la faculté de Tréfilerie sont en grève, rejoints par les salariés du personnel administratif, les chercheurs ainsi que les agents d’entretien.
La fac de tréfilerie est maintenant débloquée, suite à un vote en « AG » d’hier (mardi 27), même si des gens continuent à occuper les couloirs, s’y rencontrer, s’activer, discuter, contre la LRU et son monde...
Depuis ce matin le site tréfilerie de l’université jean monnet à saint-étienne est bloqué par des étudiant-e-s et autres participant-e-s au mouvement en cours (contre la loi LRU et son monde, en solidarité avec les autres mouvements de grève...).
Demain matin, les étudiant-e-s, et toutes autres personnes mobilisées, qui ont décidé le blocage (en AG) jeudi dernier se donnent rendez-vous devant la fac à 7h (site tréfilerie) pour la bloquer si elle est ré-ouverte par la présidence.
Suite à la décision des étudiant-e-s de bloquer l’université, le Président a ordonné la fermeture administrative des locaux. L’objectif inavoué est de tuer le mouvement « étudiant ».
Ça faisait plusieurs semaines que, de réunions en débats, on parlait de la LRU (une loi de réforme des universités), mais aussi du reste, du monde qui va avec...
Aujourd’hui jeudi 15 novembre, au cours d’une assemblée générale houleuse où était présentes environ 600 personnes, il a été décidé de lancer une grève et un blocage de la fac (au moins le site de tréfilerie), plus de 300 personnes étant pour.
La commission européenne vient de publier un rapport sommant les universités européennes de se réformer si elles ne veulent pas définitivement « achever leur déclin ».
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