partis politiques et affaires locales
Contre toute-attente populaire, Gaël Perdriau attaque bel et bien une nouvelle année à la tête de la ville. Le Comité Défaite attaque lui aussi l’année 2023, plus vivant que jamais, et vous convie à ses vœux, le lundi 30 janvier à 17h30 sur le parvis de l’Hôtel de Ville.
Le lundi 28 novembre, le Comité Défaite invite tout.es les stéphanois·es à une joyeuse tombola de fin de mandat de Perdriau, à l’occasion de laquelle chacun·e pourra se réchauffer autour d’un bol de soupe aux choux.
Retrouvez le podcast de La machine à découdre d’octobre 2022. Une émission consacrée à la rentrée politique à Saint-Étienne autour notamment de « l’affaire Perdriau » (avec, entre autres, un entretien avec Antton Rouget de Médiapart).
Le Comité Défaite invite à se regrouper devant l’hôtel de ville tous les lundis de 17h à 19h, jusqu’au prochain conseil municipal. Prochain rassemblement, lundi 10 octobre.
Suite du pot de départ de Monsieur le Maire, fêté dignement lundi dernier : remise de son livre dort lundi 3 octobre à 17h30 devant l’hôtel de ville. Organisé par le comité Défaite !
Un carton d’invitation reçu au Couac.
Pour lundi 26 septembre à 17h30, Parvis de l’Hôtel de ville.
Un autre appel à rassemblement est également annoncé pour 14h, heure du prochain conseil municipal.
Les langues se délient, les rats quittent le navire et les appels à la démission de Perdriau et/ou retrait de Perdriau se multiplient depuis les nouvelles révélations de Médiapart lundi dernier. Un premier appel à rassemblement est lancé pour aujourd’hui mercredi 14 septembre à 18h, place de l’Hôtel de ville. Cet appel est relayé par les Brigades de solidarité.
Nous sommes des Stéphanois.e.s qui pensons que cette affaire n’est ni un fait divers, ni l’épisode people et « partie fine » de l’été. Au contraire, et comme le souligne à juste titre le journaliste « l’affaire Perdriau » n’a pas qu’une dimension locale. Ce qu’elle raconte de la culture de l’impunité de certains élus, ainsi que du dévoiement de la gouvernance locale dépasse le cadre de Saint-Étienne ». C’est pourquoi – et pour toutes les raisons qui suivent – cette affaire nous concerne. Pour vous en convaincre en voici 12.
Poursuivant sa tradition d’un journalisme total, le Couac a enquêté 24 heures durant. Notre cible pour ce dossier sport : l’anneau des sueurs animales, la piste aux étoiles en cravate, l’antre du sport qui s’inscrit sur des tickets : l’hippodrome de Feurs.
La Biennale du design a ouvert ses portes début avril. Retour avec un article paru en 2019 dans le magazine Mouvement sur les enjeux du design à Saint-Étienne – outil de « marketing territoral » pour la ville et ses industries créatives mais aussi cheval de Troie à des politiques sécuritaires.
Décidément, la place Jean Jaurès n’aura jamais aussi mal porté son nom ! Après le bar Les poteaux carrés qui ont accueilli les ignobles néo-fascistes Zemmouroïdes le soir du premier tour (sous intense protection policière), c’est au tour du Méliès Café de privatiser son espace, cette fois au profit des infâmes Macronistes locaux.
Rencontre avec Taha Bouhafs autour de son livre Ceux qui ne sont rien (La Découverte, 2022). Ce samedi 12 mars 2022, à 18h39, à l’Amicale laïque du Crêt de Roch (16, rue Royet 42000 St-Etienne).
Chaude ambiance avant son arrivée... Puis, loin de la place, la gendarmerie évacue de force les manifestants qui demeureront nassés pendant plusieurs heures, bien à distance. Tout est sous contrôle, le spectacle présidentiel peut commencer.
« À Saint-Étienne, le vert n’est pas qu’une couleur, c’est une philosophie » pavane la municipalité. Mais de tout ce vert promis pendant la campagne, on attend encore de voir la couleur. Car jusqu’à présent, les préoccupations environnementales sont loin de guider l’action de la municipalité Perdriau – sous ce mandat comme lors du précédent. Un article paru dans le Couac au printemps 2021.
La rédaction du Couac vous propose les Wauquiezeries de son numéro 12 (paru au printemps, toujours dans les points de vente habituels !). Au programme : féminisme de pacotille, aides faramineuses aux stations de ski et financement de la techno-sécurité.
Ce texte revient sur l’Affaire du 8/12. Ce coup de filet Qui Tombe à Pic témoigne des dérives fascistes qui nous concernent touxtes. Elle montre encore une fois qu’il est possible pour la police, grâce à l’outil antiterroriste, d’emprisonner des militant.es (et assimilé.es) pour de « vagues soupçons » d’intentions de « s’en prendre aux forces de l’ordre ».
Lundi 8 février commençait le « Beauvau de la Sécurité » lancé par Emmanuel Macron à l’automne. Quatre mois de discussion pour, soi-disant, « renouer la confiance entre la police et la population »...
Jean Louis Gagnaire instrumentalise l’assassinat du professeur Samuel Paty pour mieux condamner la mobilisation organisée par le « collectif stéphanois contre le racisme et l’islamophobie » et le média qui a couvert l’événement.
Enseignants, « il n’y a rien de réjouissant à recevoir, comme les soignants hier, nos applaudissements aujourd’hui. »
Les réactions d’horreur et de stupéfaction suscitées par l’assassinat de Samuel Patty sont unanimes. Mais c’est justement parce que cette barbarie nous accable tous que sa récupération politicienne et de tous bords peut apparaître indécente. Réaction, à chaud, d’une enseignante scandalisée d’être dramatiquement érigée en héroïne après avoir pris l’habitude au fil des années de se sentir méprisée ; notamment par sa hiérarchie qui s’empresse aujourd’hui d’invoquer une solidarité qu’elle considère hypocrite. Publié sur le site de lundi.am
« Sans aéroport, nous ne pourrions plus espérer être retenus pour de grands événements sportifs et culturels » déclarait Gaël Perdriau il y a un an. Le maire de Saint-Étienne, obnubilé par l’attractivité de sa ville, évoquait alors la possibilité de rouvrir une ligne aérienne régulière entre Paris et la cité stéphanoise. Entre temps, le confinement est passé par là, remettant au centre des débats la question de l’hypermobilité, génératrice de dégâts sociaux et environnementaux. Le Couac est parti pour une enquête multimodale sur le plus grand tarmac de la Loire.