Quelle empreinte une révolte laisse-t-elle chez celles et ceux qui l’ont vécue ? En mettant un gilet jaune, ils se sont révoltés pour la première fois de leur vie. Le film raconte l’après. Le 13 mai 2024 au Méliès Jean Jaurès, à 20h50.
Des milliers de personnes, des cortèges qui convergent de toute la ville, de la plaine et des monts du Forez, des vallées de l’Ondaine et du Gier ; une police débordée, à court de lacrymos ; des feux de joie partout et une voiture de la municipale incendiée ; des grandes enseignes pillées ; un Perdriau exténué ; noël annulé... C’est sûr, on se rappellera de ce 8 décembre 2018, à Saint-Étienne. Retour en image sur cette journée mythique.
Plusieurs rendez-vous à Saint-Étienne pour célébrer les cinq ans du mouvement des GJ. Vendredi 17 et samedi 18 novembre ! Des rassemblements sont également annoncés partout en France !
Manifestation #Antifa, #Gilet Jaune, #Anti Pass samedi 9 octobre à Saint-Étienne. Départ à 14h place du Peuple, 15h stade Geoffroy-Guichard.
Une émission de Sortir du capitalisme autour du « populisme » des Gilets jaunes, et plus généralement du populisme « par en bas », comme expression actuelle de la lutte des classes - avec des membres du collectif Stoff, auteur sur ce sujet d’un article dans leur revue.
Appel des Gilets Jaunes de Montreuil à commémorer les 150 ans de la Commune le 18 mars 2021.
Le-Mediatv a sorti hier un reportage sur Hadi, jeune homme syrien éborgné par la police à Saint-Étienne, le 12 janvier 2019, lors de l’acte IX des Gilets jaunes. Ce jour-là, la police nasse, gaze et canarde les manifestant.es à coups de LBD. Hadi, jeune réfugié syrien le paiera de son œil.
Les gilets jaunes et leurs soutiens n’en finissent plus de payer durement devant les tribunaux leur engagement. Ian, membre du collectif Désarmons-les, interpellé en septembre 2019 pour rébellion et outrage à Montpellier, vient de se voir infliger une peine de prison ferme. Son récit et ceux des témoins racontent, vidéo à l’appui, une tout autre version et révèlent plutôt un acharnement judiciaire.
Bastamag, média d’information en ligne indépendant sur l’actualité écologique et sociale, réalise une enquête sur l’utilisation des peines complémentaires d’interdiction de manifester notamment durant le mouvement des gilets jaunes qui complètent éventuellement des amendes, des peines de prison, des rappels à la loi... et qui empêchent la personne condamnée de se rendre à une manifestation sur la voie publique durant une période et sur un territoire donné.
Ce samedi 17 octobre, plus de 500 personnes se sont rassemblées à Lyon sur la place Bellecour.
Le dispositif de maintien de l’ordre est disproportionné : toute une armada de policiers et gendarmes, grille anti-émeute, canon à eau, drone, hélicoptère...
A Saint-Étienne, une centaine de personnes ont répondu présentes à 14h sur la place du peule suite à l’appel national de manifestations contre le gouvernement. Très vite, vers 14h20, la nationale et la Bac mettent la pression aux personnes présentes. Plus tard, une personne sera arrêtée pour « organisation d’une manifestation non autorisée ».
Retour sur la manifestation du 12 septembre.
Voilà plusieurs semaines que des collectifs de Gilets jaunes ont lancé un appel à converger vers la capitale le samedi 12 septembre. Depuis les appels se sont multipliés dans de nombreuses villes de France. À Saint-Étienne, un rendez-vous est donné à 14h, place du Peuple.
Le collectif Niet !éditions a le plaisir de vous annoncer la sortie de « La révolte des Gilets jaunes - Histoire d’une lutte de classes » du collectif Ahou ahou ahou, ainsi que celle de 3 livrets photos autour des luttes actuelles. Ces 4 bouquins sont disponibles à partir du 12 juin, en librairie et dans les lieux militants.
La photo de l’étranglement d’un manifestant lors de l’acte 68 à Saint-Étienne est devenue virale sur les réseaux sociaux. Même le journal « 20 minutes » y a consacré un article. N’hésitez pas à contacter le Cassis (Collectif d’Autodéfense et de Solidarité en Soutien aux Inculpé.e.s Stéphanois.e.s) si vous avez quelqu’un qui possède un quelconque témoignage ou informations à ce sujet.
Samedi 1er février, les Gilets jaunes de Saint-Étienne ont lancé un appel à l’ensemble des secteurs en lutte à rejoindre le traditionnel cortège du samedi après-midi. Cela a été l’occasion de faire le tour des permanences électorales des candidates aux municipales. Avec ou sans gilet jaune les manifs du samedi reprennent de plus belle !
Article publié sur Résistance verte
RDV samedi 1er février 2020 à 14h Place du Peuple.
Pour maintenir la pression et notre présence dans la rue.
La répression judiciaire qui a suivi le mouvement social dit des « gilets jaunes » a été l’occasion de constater que l’ancien monde, en robe noire, se servait désormais des outils de surveillance que met à sa disposition le nouveau monde. Ainsi, un manifestant a été condamné à Saint-Étienne pour des propos tenus sur Facebook. C’est un pas de plus qui est franchi dans l’atteinte à nos libertés.
Samedi 16 novembre, comme partout en France, se sont rassemblés à Saint-Étienne de nombreux manifestants. Ils étaient plus de 1000 à s’être retrouvés pour fêter le premier anniversaire des Gilets Jaunes. Un véritable regain de mobilisation, qui d’ailleurs a pu être observé sur la totalité du pays, mais qui n’est pas une surprise : en effet le ras-le-bol est toujours le même !
Le mouvement des Gilets jaunes fête bientôt son premier anniversaire et il nous a semblé intéressant de relayer les paroles des premier.e.s concerné.e.s. Celles et ceux pour qui la fièvre jaune a été impossible à négocier ! Jean est stéphanois, il commence à s’intéresser au mouvement et tout s’enchaîne : les ronds-points, les manifs mais aussi la violence policière, les contrôles, la répression, l’arrestation, le procès et au bout de la chaîne... la prison. Interview réalisée en juin 2019 à sa sortie de Fresnes et publiée dans le journal L’Envolée.
Un an, 52 semaines, 365 jours ! Le 16 novembre prochain, cela fera une année que ce mouvement inédit, sorti de (presque) nous aura fait sortir dans les rues tous les samedis. Depuis plusieurs semaines, ça tourne pas mal sur les réseaux sociaux. Les GJ veulent fêter ce premier anniversaires dignement. Des rendez-vous fleurissent aux quatre coins de France pour manifester, bloquer des centres commerciaux voire des villes entières, pour réoccuper les ronds-points. Saint-Étienne n’est pas en reste et des appels à manifester sont lancés pour ce 53e acte.
Ça faisait un bail qu’on avait pas vu autant de monde dans les rues un samedi à Sainté. Et ça fait plaisir ! Même si, il faut l’avouer, on est loin du nombre des décembre, janvier, février derniers... Au moment fort de la manifestation, plus de 1000 GJ de Sainté et de Navarre ont promené les forces de l’ordre tout l’après-midi et même jusqu’au début de soirée à Monthieu ! Et ce malgré le dispositif énormissime, les grenades lacrymo, les charges agressives, les tirs de LBD et les coups de matraque.
Depuis plusieurs semaines, l’appel circule sur les différentes plate-forme GJ de la Loire et d’ailleurs. Pour cet acte 50, les GJ de Saint-Étienne appellent à converger sur la ville aux sept collines pour un retour aux sources ! On reprend les bonnes habitudes : rendez-vous samedi 26 octobre à 13h au rond-point de Monthieu et à 14h place du Peuple. Tou.te.s ensemble ! On lâche rien !
Antonin Bernanos est un militant antifasciste autonome. Incarcéré durant près de deux ans suite à l’affaire de la voiture de police brûlée Quai de Valmy en 2016, il est de nouveau en détention – provisoire – depuis six mois suite à la plainte d’un hooligan d’extrême-droite dont le groupe a été mis en déroute lors d’une confrontation de rue avec des antifascistes. Dans cette lettre, Antonin revient sur l’infiltration des groupes d’extrême-droite durant la phase initiale du soulèvement, et sur la manière dont celle-ci s’articule étroitement avec la stratégie répressive de l’État – qu’il s’agisse de répression policière ou de propagande médiatique.
Samedi dernier (le 14/09/2019) avait lieu l’acte 44 des Gilets Jaunes à Lyon. RDV 13h sur Place Bellecour. Retour sur cette manifestation par Le Gueuloir...
La rumeur circulait depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux affiliés aux Gilets Jaunes - La France en colère, La Loire en colère, etc. Elle a été ensuite confirmée par un article de « La Provence » datant du 3 juillet. C’est donc bien un policier de la brigade CRS 50 de Saint-Étienne qui avait dans les mains le lanceur Cougar responsable de la mort de Zineb Redouane.