Journal irrégulier, stéphanois, indépendant et mal-agrafé depuis 2016.
Enquêtes et articles d’actualité sociale et politique sur Sainté et ses environs.
Contact : couac chez riseup.net
Enquêter sur le « sport » à Saint-Étienne et alentours (le thème du dossier du Couac n°13) conduit inévitablement à une activité mystérieuse qui, bien que toujours pratiquée, voit ses heures glorieuses jaunir sur les murs des Amicales et autres Cercles de Jeux : la Sarbacane, ou « jeu de la souffle ».
Au printemps 2018, un article de Couac revenait sur Mai 1968 à Saint-Étienne. Mais la fin de Mai-Juin 68 ne signe pas le retour au calme, elle marque au contraire le début d’une période d’effervescence tous azimuts. Entretien sur la période qui suit Mai-Juin 68 et plus particulièrement sur le printemps 73, alors que convergent les contestations, avec Gilbert, qui participe alors aux mobilisations.
Inaugurée en 1891, la Mine aux mineurs de Monthieu dura jusqu’en 1908. Elle eut une vie agitée, secouée par de nombreux procès, et même une grève ! Et pourtant elle réussit à faire vivre, pendant plus de dix ans, entre 70 et 100 mineurs. Cette expérience, avec son histoire mouvementée et contrastée, peut être utile aujourd’hui encore, comme elle le fut à la fin du XIXe siècle.
Après un premier volet sur la décennie 80 à Sainté, poursuite du récit à travers la ville Noire dans lequel « se mêlent politiques de la zone et zone de la politique ».
Le texte est paru dans le Couac n°9.
Grandir à l’ombre des crassiers dans les années 1980. Un récit paru dans le Couac n°8.
« Mes grands-parents étaient des rescapés du Génocide arménien. De la fournaise du Der-es-Zor, désert et charnier, par Marseille pour Saint-Chamond, où fleurissaient industries de guerre, mines, filatures, etc. Les voisins étaient ligériens, italiens, polonais, espagnols, algériens… Ils parlaient, échangeaient, mêlaient leurs impressions, leurs cultures, se coudoyant dans la misère et dans la lutte. »
Le Couac de l’hiver est arrivé ! Quoi de mieux qu’une bonne soirée pour fêter ça ? Rendez-vous le 13/12 à la Cale à partir de 18h30.
Couac vous propose de revenir sur deux mobilisations du printemps dernier : les occupations de lieux culturels en soutien aux intermittent·te·s du secteur et en opposition à la réforme de l’assurance chômage, d’une part, et les rassemblements contre la loi dite séparatisme, d’autre part. Après un premier volet sur les occupations du Fil et de l’ancienne école des Beaux-Arts de Saint-Étienne, voici le second avec le rassemblement pour la journée internationale de lutte contre les discriminations raciales et l’islamophobie à Saint-Étienne du 21 mars.
Couac vous propose de revenir sur deux mobilisations du printemps dernier : les occupations de lieux culturels en soutien aux intermittent·te·s du secteur et en opposition à la réforme de l’assurance chômage, d’une part, et les rassemblements contre la loi dite séparatisme, d’autre part. Premier volet avec les occupations du Fil et de l’ancienne école des Beaux-Arts de Saint-Étienne.
Après le Couac n°16, c’est presque-déjà-bientôt la sortie du numéro 18 : « DÉMAIRDONS-NOUS » (et fuck le 17), numéro spécial maires crapules.
Le numéro 16 du Couac est sorti au début du mois. Vous pouvez le retrouver, comme d’habitude, en librairie ou à l’occasion de criées sur les marchés. Mais le Couac s’écoute aussi sur Radio Dio ou en podcast.
Le numéro 15 à peine paru, l’équipe du Couac se penche déjà sur la suite, avec un numéro 16 à paraître le 1er mai 2023.
Couac a lu le projet « Cité du design 2025 » qui dresse les ambitions de la métropole sur son site-vitrine pour les prochaines années, et ça ne sera pas mieux après. Lecture rapide et commentée dans le numéro paru au printemps 2022.
La soirée de sortie du Couac n°15 aura lieu le vendredi 10 février !
Au programme : présentation et vente du numéro, concerts et mix, bière et bouffe.
Le Couac, canard d’enquête critique et bricolé à la main à Sainté, sort son numéro d’automne-hiver 2022/2023. Retrouvez ici l’édito et le sommaire... et le journal papier en librairie ou à l’occasion de criées sur les marchés.
Docteure en sociologie politique, Morane Chavanon a écrit une thèse sur les usages politiques du passé migratoire. Le Couac l’a rencontrée à Saint-Étienne le 21 janvier 2021 lors de la soirée de présentation du livre collectif Démobiliser les quartiers. Enquêtes sur les pratiques de gouvernement en milieu populaire et a eu envie de prolonger la discussion. L’interview qui suit, parue au printemps 2022, cause mémoire, pouvoir publics, histoire, habitant·es du passé et du présent, financements et agenda politique.