présentation du premier apériodique coutoentrelesdents sorti en mai !
En partant de l’ouvrage de Sophie Bessis « La civilisation judeo-chrétienne » la prochaine causerie libertaire souhaite lancer la discussion sur les diverses formes de
manipulations intellectuelles qui entourent autant le contexte géopolitique au
Levant que l’ambiance médiatique et politique française qui lui sert de miroir.
Dimanche 22 juin de 17h à 19h à la bibli l’Hérissé‧e
Fille d’une servante et certainement du fils des châtelains chez qui sa mère travaille, Louise Michel naît au château de Vroncourt (Haute-Marne). Elle grandit auprès de sa mère, choyée par « ses grands-parents », recevant une éducation libérale et une bonne instruction.
Avec la conviction que patriarcat et technologies sont des arcanes du pouvoir qui nous enserrent et contrôlent nos corps et nos esprits, que le genre est un élément majeur de la séparation et la domination des vivant.es, comment faire vivre des perspectives de lutte contre le genre dans une critique anti-industrielle contre la technologie ?
Le 1er mai 1886, la pression syndicale permet à environ 200 000 travailleurs américains d’obtenir la journée de huit heures. Mais d’autres, moins chanceux, au nombre d’environ 340 000, doivent faire grève pour forcer leur employeur à céder.
Se réapproprier l’histoire sociale et libertaire de notre espace de vie.
Information concernant la tenue de la première BULES (Balade Urbaine Libertaire de l’Espace Stéphanois), le samedi le 26 avril de 16 h à 19 h.
Ce texte a été publié en 1991 dans le zine NN, soit Nomen Nescio (« nom inconnu ») la locution latine utilisée aux Pays-Bas par les flics pour désigner une personne sous X. Il fait le récit de luttes qui, entre 1984 et 1986 à Amsterdam, ont chahuté la ville dans sa candidature pour accueillir les JOP d’été 1992. En PDF imprimable en fin d’article.
On organise un camp tout le mois de septembre 2025, à l’ancienne gare de Luméville près de Bure !
La Commune de Saint-Étienne eut lieu entre le 24 et le 28 mars 1871, après plusieurs jours d’agitation. Le 24 mars une centaine de manifestant.e.s, rejoints par la Garde Nationale et la foule, investissent l’Hôtel de ville et hissent sous la coupole le drapeau rouge.
Des brèves du désordre contre la guerre et la répression (2014 – 2025). Précédées de « Carnet de route » (publié en 2018), à propos d’antimilitarisme, d’anarchie et de perspectives insurrectionnelles autonomes.
Fils d’un ouvrier cordonnier et militant actif de la chambre syndicale des passementiers, Régis Faure fut aussi un des anarchistes les plus en vue de la région de Saint-Étienne. Membre du cercle des Outlaws, inculpé et condamné à un an de prison lors du « procès des 66 » de Lyon en 1883. Infatigable, il sera l’un des protagonistes de la grande grève insurrectionnelle des passementier.e.s de 1899.
L’état fRançais, main dans la main avec les grandes entreprises extractivistes telles qu’Imerys, envisage la création de plusieurs mines sur son territoire. Son ambition phare : une mine d’extraction de lithium à Echassières dans l’Allier. Un métal rare essentiel dans la fabrication de batteries électrique.
100 ans après la mort d’un de ses principaux protagonistes, Lénine, une histoire sociale de la Révolution de 1917 qui prend le contre-pied des récits simplificateurs léninistes et anarchistes et de l’historiographie bourgeoise et contre-révolutionnaire, en deux parties et à partir de Marc Ferro, La révolution de 1917. Deux épisodes de l’émission Sortir du capitalisme.
En s’appuyant sur la sortie récente aux éditions L’échappée, de l’ouvrage « la nature existe » coécrit par M. Blay et R. Garcia, on se propose de discuter au sein de cette causerie libertaire, le concept de nature que la « pensée du vivant », dans ses aspects les plus post-moderne n’a pas épargné.
Si on entendra encore parler de la révolte de Kronstadt de 1921 longtemps après, c’est que, d’une certaine manière, en quelques semaines se concentrent tous les éléments de la révolution russe. Dans la tragédie de la révolution russe, ces événements sont ceux qui annoncent le dénouement. C’est le moment où se soldent les comptes de la révolution entre les différentes factions révolutionnaires. Depuis, cette révolte est devenue source d’un conflit mémoriel. Elle marque dans les mémoires une démarcation entre révolutionnaires partisans de la voie autoritaire et révolutionnaires anti-autoritaires.
Un épisode qui va aux racines du rôle et des choix des anarchistes dans la Révolution russe (1917-1918) à partir de l’ouvrage 1917. Les anarchistes, leur rôle, leurs choix (Editions d’Alternative Libertaire, 2017) de Pierre Chamechaude et de Guillaume Davranche - avec ce dernier, chercheur indépendant en histoire du mouvement ouvrier et de l’anarchisme. Un podcast de l’émission Histoire radicale.
Jean-Baptiste Ricard travaillait comme ouvrier cordonnier et était l’un des animateurs du groupe anarchiste Les Outlaws. Militant infatigable, il fut arrêté à Saint-Étienne le 21 novembre et impliqué dans le procès des 66 qui s’ouvrit à Lyon le 8 janvier 1883 et condamné à 4 ans de prison, puis grâcié. Retour sur une figure emblématique du mouvement révolutionnaire stéphanois.
Né à Saint-Étienne en 1837, Étienne Faure participe en 1868 à la grève des cordonniers. En 1871, il milite au Club de la rue de la Vierge, à Saint-Étienne, centre des révolutionnaires animés de l’esprit de l’Internationale. Il jouera un rôle de premier plan lors de la commune de Saint-Étienne.
En janvier 1883, soixante-six anarchistes sont jugés à Lyon dans un grand procès médiatique qui vise à diviser le mouvement ouvrier alors très dynamique. Parmi les inculpés, quatre Stéphanois sont jugés pour avoir diffusé des idées visant à « provoquer à la suspension du travail, à l’abolition du droit de propriété, de la famille, de la patrie, de la religion, et d’avoir ainsi commis un attentat contre la paix publique. » Deuxième partie : Enquête et arrestations, automne 1882.