"Difficile de les rater : Philippe Descola, Bruno Latour, Baptiste Morizot, Vinciane Despret, Nastassja Martin, etc. ; autant de noms qui donnent le la de l’écologie politique dans de nombreux livres, articles, entretiens et émissions de radio ou de télévision.
Au croisement de l’anthropologie et de la philosophie, cette nébuleuse de figures est désormais confortablement installée dans les médias et les lieux d’enseignement supérieur.
Pourtant, leur originalité tant vantée repose sur des fondements surprenants comme le rejet de la notion de Nature et la mise à distance des questions de production ou d’industrie.
C’est donc l’occasion de réfléchir un instant au poids que ces « penseurs du vivant » ont sur l’opinion publique et dans les décisions politiques tout en exposant les raisons pour lesquelles leur réflexion se trouve aux antipodes de la majorité des courants libertaires."
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