Ce matin les lycéens se sont encore fait gazer, et la nouvelle a circulé alors que la manifestation n’avait pas encore démarré. Malgré les appels des grosses sonos syndicales à ne pas partir, une bonne soixantaine de manifestants les ont rejoints spontanément vers la Grande Poste pour les aider. Un nuage de lacrymos a envahi l’avenue de la Libération jusqu’à la tête du cortège syndical, qui a dû attendre quelques minutes avant de pouvoir reprendre le défilé.
Nous condamnons la politique ultra-répressive de l’autorité préfectorale envers la jeunesse de notre ville.
On interdit aux lycéens le droit de manifester. Ce n’est pas ainsi que l’on fera taire la jeunesse stéphanoise.
Vive la jeunesse rebelle !
Ni contrainte ni entrave...

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