Beaucoup de gens avaient manifesté leur soutien dans les mois précédants son extradition de Hollande en direction de la Suède. Ils avaient fait appel auprès du gouvernement hollandais, affirmant que Maarten n’était pas coupable et que les prisonnier-es en Suède n’avaient pas eu de procès équitables.
Les événements de Goteborg s’étaient terminés, après la fin du Sommet, par un nouveau raid de la police anti-terroriste, sur une autre école (servant de centre de ressources pour les manifestants), cette fois-ci armés de mitraillettes. À la fin des procès, environ 50 personnes s’étaient vues infliger de longues peines de prison pour des actes qui auparavant n’étaient pas aussi durement sanctionnés (classés, amende, sursis ou courte peine).
Ces peines excessives, au vu des précédents rendus de justice, furent justifiées par les tribunaux au motif que ceus/celles qui étaient condamné-es cette fois étaient coupables d’incitation à l’émeute dans un effort coordonné menaçant la démocratie et les politiciens de l’Union Européenne. Les sentences en Suède ont souvent été basées sur des preuves policières contradictoires et irréalistes.
C’est une victoire importante pour l’activisme international en général et pour les prisonniers en Suède et Maarten en particulier.
http://www.steunmaarten.org/englishhome.htm pour plus d’infos.
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