La ministre des transports Elisabeth Borne a confirmé l’abandon du grand projet - bien inutile et nuisible - d’autoroute entre Lyon et Saint-Étienne. Première réaction de la coordination des opposants.
« Sans aéroport, nous ne pourrions plus espérer être retenus pour de grands événements sportifs et culturels » déclarait Gaël Perdriau il y a un an. Le maire de Saint-Étienne, obnubilé par l’attractivité de sa ville, évoquait alors la possibilité de rouvrir une ligne aérienne régulière entre Paris et la cité stéphanoise. Entre temps, le confinement est passé par là, remettant au centre des débats la question de l’hypermobilité, génératrice de dégâts sociaux et environnementaux. Le Couac est parti pour une enquête multimodale sur le plus grand tarmac de la Loire.
Les lois anti-terroristes vont de pair avec une présence de l’armée et de la police dans l’espace publique. Quand les militaires paradent en trinôme avec leur F.A.M.A.S en bandoulière, dans certaines rues de France, ils sont complètement hors contexte. Ils ne sont présents que pour donner du crédit à une volonté gouvernementale de créer une paranoïa. Ils ne sécurisent pas l’espace et cela les rend ridicules. D’ailleurs, d’un point de vue technique, leur fusil mitrailleur ne peut d’ailleurs que les encombrer, en cas d’intervention.
La Quadrature du Net dénonce trois articles d’une « proposition » de loi sur la sécurité globale débattue dès ce mercredi 4 novembre : ses articles 21 (qui veut déréguler l’utilisation des caméras mobiles portées par les forces de l’ordre), 22 (légalisation de la surveillance par des drones) et 24 (pour interdire la diffusion d’images de policiers).
Nous entamons notre troisième volet de « Connaître l’extrême droite pour mieux la combattre » consacré cette fois-ci aux influenceur-euses d’extrême droite, ou du moins, ceux ou celles qui permettent de servir son propos. Dans ce premier volet, on se penche sur les cas d’Alain Soral, Papacito, Daniel Conversano et Thais d’Escuffon.
ou « Comment j’ai dû m’auto-exclure du milieu militant pour échapper à des violences psychologiques et sexuelles. » Ça parle du moment où j’ai quitté la lutte antinucléaire à Bure en novembre 2021 et pourquoi j’ai dû le faire. Comment j’ai réussi à me sauver d’une relation d’emprise avec une personne qui participe à cette lutte et se dit « allié ». Ça raconte ce que peuvent être les violences conjugales psychologiques dans le cas un peu particulier de relation amoureuse dans le milieu militant. Où l’on prétend à l’amour libre et à la remise en question de schémas normés. Pourquoi je n’ai d’abord pas réussi à partir et comment j’ai dû disparaître des espaces militants pour m’en sortir et me réparer.
À la suite de l’appel national du collectif Les Soulèvements de la Terre, un comité local s’est créé à Saint-Étienne pour soutenir et défendre les valeurs et les objectifs de ce mouvement.
En septembre 2017, Indymedia Linksunten était interdit par le ministère de l’Intérieur allemand, perquisitions et montage policier à l’appui. Retour sur l’histoire, le contexte, les dossiers d’enquête ainsi que sur la bataille juridique menée depuis le collectif de soutien et la legal team Freiburg EA.
Mauvais timing et mauvais film d’anticipation pour le Couac : la fabrication du #9 a dû être interrompue en plein vol. En attendant la fin // du monde // du confinement, l’équipe vous propose de lire ici un article par jour. Voici l’édito... et une surprise en bas d’article.
Depuis des années, les habitant.es et les usagèr.es de la Plaine à Marseille se battent contre le projet de « requalification » de la place, piloté par la Mairie et son bras gentrificateur, la Soléam. Entre le développement d’Euroméditerranée et l’opération Grand Centre Ville, ce n’est pas seulement la Plaine mais aussi les quartiers de Noailles, Belsunce, les Crottes, la Belle de Mai etc. qui sont destinés à être « nettoyés » pour les touristes et les développeurs.