L’humanité a basculé dans l’ère des catastrophes globales. Partout sur la planète les forêts brûlent, les océans s’asphyxient, les espèces disparaissent. La sixième extinction de masse est en marche.
L’urgence commande l’élaboration d’une politique qui conjurerait la destruction généralisée de la vie : un communisme du vivant.
S’appuyant sur une lecture conjointe du marxisme et des humanités environnementales, Paul Guillibert défend une philosophie sociale de la nature pour démontrer que la préservation de la biosphère est devenue une condition nécessaire à l’émancipation.
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