Et après la manif, repas et AG interpro et interlutte à la salle Sacco et Vanzetti de la Bourse du Travail à 14h.
Appel de la CNT 42
EN 2020 ON CONTINUE ! ON LACHE RIEN ! GRÈVE, MANIFS, ACTIONS !
Tous en grève le jeudi 9 janvier 2020Pour faire plier ce gouvernement qui nous ment, qui se fout de notre gueule, qui nous méprise, un jour de grève ça suffit pas. On le sait. Ils le savent. Alors prenons le train des grévistes de la SNCF :
Grève générale illimitée jusqu’au retrait de cette loi sur NOS retraites.
Perdre 100, 200, 300 balles ça fait mal. On le sait. Ils le savent. Mais avec le système par points à la Macron, perdre 100, 200, 300 balles par mois lorsqu’on sera en retraite, c’est impossible, pour vivre dignement. Et les plus touché.e.s seront les plus précaires, les femmes, celles et ceux qui ont des interruptions de carrière, les travailleurs et travailleuses étrangères… Fais ton choix, pour toi, pour ta famille, pour tes ami.e.s, pour une société solidaire.
Bien sûr pour les richeton.nes, pas de problème, y vont capitaliser !
Retraite complémentaire, mettre 100, 200, 300 balles par mois dans les fonds de pensions, pour que vive sa sainteté Bouse, pardon Sainte Bourse.
La preuve donnée par le Premier ministre, le 1er janvier, qui a élevé au grade d’officier de la légion d’honneur J-F Cirelli le président de BlackRock France, ce groupe américain soupçonné d’avoir influencé l’élaboration de la réforme des retraites. Fondé en 1988 aux Etats-Unis, BlackRock se pavane avec ses derniers résultats financiers, gérant un portefeuille d’actifs de quelque 7 000 milliards de dollars. Super-Macron vend nos retraites aux Supers-Bousiers !
Nous allons laisser faire ? NON ! Dignes et résolu.e.s.
TOUTES ET TOUS ENCORE DANS LA RUE APRÈS LE 9 !
Manifs :
Saint-Étienne 10h30 place de la liberté (en dessous de Centre 2)
Roanne 10h30 devant l’ancienne Bourse du travail (Avenue de Paris)
Communiqué de presse de la CGT mines-énergie revendiquant les récentes coupures de courant dans la région stéphanoise
St-Étienne, le 5 janvier 2020
Il n’y a pas eu de trêve pendant les vacances à St-Étienne, et même que la hotte du Père Noël de la CGT était pleine de cadeaux. En grève depuis le 5 décembre 2019 comme beaucoup de syndicats en particulier les cheminots, la CGT exige le retrait pur et simple du projet de retraite par point, pour lancer de véritables négociations sur le financement du système actuel.
Ce projet est néfaste à tous, privé comme public, aura pour conséquence la diminution des pensions et une aggravation du financement de ce dernier. La CGT revendique la coupure de Lyon qui a mis 40 000 foyers dans le noirs ainsi que les coupures à 6h00 du matin le 9 décembre pour perturber la logistique des AUCHAN, LECLERC, GÉANT CASINO ainsi que C Discount d’Andrézieux et en aucun cas les clients de ses enseignes, ainsi que le démontage des compteurs RTE de la vallée de l’Ondaine.
Nous sommes conscients de la gêne pour nos concitoyens surtout pendant cette période de fête, ainsi la CGT, vous informe que dans la nuit du 22 au 23 décembre 2019, les compteurs de la ligne SNCF Lyon/St Étienne fournie par RTE ont été montés à l’envers (sans qu’aucune des entreprises ne s’en rendent compte à ce jour). Cela veut dire que les peu de trains qui ont circulés pendant les vacances de Noël ont roulés avec de l’électricité que la SNCF n’a pas payée.
Il serait donc légitime que les usagers de la ligne St-Étienne/Lyon soient intégralement remboursés durant la période des vacances de Noël et jusqu’à ce que les compteurs soient remis à l’endroit.
Appels de l’UD CGT 42
Appel de Sud Éducation
Pour SUD éducation, il s’agit dorénavant de renforcer le rapport de force, dans l’objectif de gagner sur la revendication centrale de la mobilisation : le retrait pur et simple du projet Macron-Delevoye. Et pour cela, il n’y a pas de secret : seul un mouvement de grève massif, généralisé et reconduit, pourra permettre de l’emporter. Dans cette optique, différentes AG ont appelé à reprendre la grève dès le début de la semaine de la rentrée. Et le 9 janvier doit être l’occasion, par une véritable démonstration de force dans les taux de grévistes et dans la rue, de reprendre le chemin de la grève et de sa reconduction. Macron a affirmé sa détermination à mener sa réforme des retraites jusqu’au bout : faisons plier ce gouvernement et exigeons avec fermeté et détermination le retrait de cette réforme qui n’est ni amendable ni négociable.
La période des congés scolaires en a fait la preuve : la grève contre la réforme des retraites n’a pas connu de trêve, malgré la pression constante du gouvernement. Pour les personnels de l’éducation, qui étaient en congé, cela a été l’occasion de participer aux différentes actions interprofessionnelles : réveillons dans les gares les 23 et 30 décembre tractages, manifestations spontanées le 26 décembre, participation aux piquets de grève, AG interprofessionnelles, manifestations interprofessionnelles un peu partout sur le territoire le samedi 28 décembre à l’appel de SUD Rail et de la CGT cheminots.
Les annonces du gouvernement n’ont pas entamé la détermination des grévistes. Pas plus d’ailleurs que les appels à la trêve de plusieurs organisations syndicales, dont l’UNSA et la CFDT, qui n’ont bien souvent pas été respectées par leur base ! Plusieurs secteurs ont par ailleurs accentué leur implication dans la mobilisation, comme le secteur des raffineries, dont on connaît l’effet paralysant pour l’économie et, partant, l’importance dans le rapport de force avec le gouvernement à la solde du patronat.
La période qui s’ouvre avec la fin des congés scolaires doit être envisagée avec optimisme et détermination. Le gouvernement est fragilisé par les affaires Delevoye. Les sondages continuent à montrer un soutien majoritaire dans la population à la grève. Les annonces du gouvernement n’ont convaincu personne, pas même les syndicats les plus favorables au principe de la retraite par points. Le gouvernement se sent obligé de médiatiser des pseudos concessions à certains secteurs, comme celui de la culture, qui ne veulent pas plus d’une retraite qui pénaliserait la jeunesse à venir et choisit la solidarité pour tous et toutes. Et surtout, les secteurs en grève avant les congés, à commencer par l’éducation, vont trouver dans la reprise l’occasion de reprendre le chemin de la lutte et de la grève.
Dans le secteur de l’éducation, les annonces sur la revalorisation des enseignant-e-s n’ont trompé personne, comme l’a démontré SUD éducation dans plusieurs documents de décryptage. Pire, elles sont l’occasion pour le ministre de remettre sur la table différentes mesures de démantèlement du statut des enseignant-e-s : réduction des congés, multiplication des missions, annualisation du temps de travail… s’ajoutant à la casse prévue avec la loi de transformation de la Fonction publique qui détruit les instances paritaires, ainsi que les suppressions de postes annoncées pour la rentrée 2020. Si besoin était de le préciser : en combattant la réforme des retraites, c’est aussi le service public d’éducation que l’on défend !
Pour SUD éducation, il s’agit dorénavant de renforcer le rapport de force, dans l’objectif de gagner sur la revendication centrale de la mobilisation : le retrait pur et simple du projet Macron-Delevoye. Et pour cela, il n’y a pas de secret : seul un mouvement de grève massif, généralisé et reconduit, pourra permettre de l’emporter. Dans cette optique, différentes AG ont appelé à reprendre la grève dès le début de la semaine de la rentrée. Et le 9 janvier doit être l’occasion, par une véritable démonstration de force dans les taux de grévistes et dans la rue, de reprendre le chemin de la grève et de sa reconduction. Macron a affirmé sa détermination à mener sa réforme des retraites jusqu’au bout : faisons plier ce gouvernement et exigeons avec fermeté et détermination le retrait de cette réforme qui n’est ni amendable ni négociable.
SUD éducation appelle à :
se réunir en Assemblée générales dès la rentrée et à voter la grève et sa reconduction
se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations le 9 janvier
reconduire la grève pour amplifier le rapport de force pour obtenir le retrait du plan Macron-Delevoye
Manifestations dans la Loire :
Saint Etienne 10h30 place de la Liberté (centre 2)
Roanne : 10h30 devant l’ancienne Bourse du travail
Assemblée interprofessionnelle à 14h00 salle Sacco & Vanzetti
Appel des étudiant.e.s de l’ UJM en lutte
LES VACANCES SONT FINIES, LA LUTTE COMMENCE !
Le gouvernement est décidé à faire passer sa réforme des retraites coûte que coûte alors que la contestation fait rage dans tous les secteurs depuis plus d’un mois.
Ça fait longtemps que Macron et sa clique essaient de détruire notre système social pour mettre en place un système néolibéral tout puissant qui profitera aux hyper riches et nous laissera tou·te·s sur le carreau !
Casse du code du travail, compétition et tri social dans l’éducation, privatisation des hôpitaux et de l’enseignement supérieur, casse de l’assurance chômage et des retraites, tout ça sur un fond de catastrophe écologique et environnementale… Maintenant ça suffit.
Arrêtons de les laisser bousiller notre avenir !
Les enseignant·e·s du primaire au secondaire ont repris la lutte et les personnels de l’UJM mobilisé·e·s ont décidé de se remettre en grève. Un appel national à bloquer les lycées a été lancé, auquel a répondu hier le lycée Honoré d’Urfé. Des facs commencent un peu partout à se remobiliser...
Étudiant·e·s, jeunes et lycéen·ne·s, reprenons la rue le 09 janvier !
À 9h, AG des enseignant·es, ouverte aux étudiant·e·s.
À 10h, RDV devant le campus Tréfilerie organisé par OSE-CGT pour un départ jusqu’au point de ralliement.
À 10h30, RDV Place de la liberté (au-dessous de Centre Deux) pour partir en manifestation.
Venez nombreux·euses !
Faisons-les battre en retraite !
Appel de l’intersyndicale
Amplifier la mobilisation et la grève pour gagner !
Les mobilisations ne faiblissent pas et de très nombreuses actions ont eu lieu pendant toute la période de fin d’année : déploiements, concerts, réveillons revendicatifs, distribution de jouets et actions de solidarité, manifestations et rassemblements... il n’y a pas eu de trêve.
Les cheminot.e.s, les agent.e.s de la RATP, comme les personnels de l’Opéra de Paris et toutes celles et ceux qui sont en grève depuis le 5 décembre, sont plus que jamais déterminé.e.s et décident chaque jour, la reconduction de la grève.
La population, malgré les pressions gouvernementales et médiatiques, soutient très majoritairement le mouvement social. Elle manifeste son soutien en versant massivement aux caisses de solidarité ou en participant aux initiatives initiées par les organisations syndicales et les grévistes.
Face à ce mouvement inédit, le gouvernement joue l’enlisement, certains de ses ministres stigmatisant les secteurs qui refusent de négocier des régressions sociales.
Lors de ses voeux, le Président de la République, a confirmé qu’il n’entend rien, se contentant de répéter les mêmes affirmations qui n’ont convaincu personne depuis deux ans.
L’intersyndicale réclame le retrait du projet de réforme pour ouvrir des négociations constructives afin d’améliorer le régime actuel pour tous les secteurs professionnels et toutes les générations.
Face à un tel mépris du Président et du gouvernement, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef et UNL appellent à construire les conditions d’une grève interprofessionnelle d’ampleur, dès le 9 janvier, avec des manifestations partout sur le territoire.
Elles appellent à mettre en débat, dès lundi, dans toutes les entreprises, services et lieux d’ études en organisant des assemblées générales de salarié.e.s, d’étudiant.e.s et de lycéen.ne.s, les conditions de la réussite du 9 janvier et de ses suites dès le lendemain.
Elles appellent à faire du samedi 11 janvier, une journée de manifestation dans tout le pays.
Pour gagner, il faut élargir et amplifier le mouvement dans tous les secteurs professionnels dès le 9 janvier. Les organisations décident d’ores et déjà de se revoir dès le 9 janvier 2020 au soir.
Montreuil le 3 janvier 2020
Appel national à bloquer les lycées dès lundi
Et pour rappel
En cas d’arrestations ou de violences policières, contactez le Cassis (Collectif d’Autodéfense et de Solidarité en Soutien aux Inculpé.es Stéphanois.es).
Par téléphone au 07 73 51 87 19 ou par mail à cette adresse : cassis42 chez riseup.net
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