C’est pourquoi nous proposons d‘agir le 17 juin en réalisant l’action « épouvantails ». Ce sera l’occasion de nous inscrire dans un mouvement national contre la réintoxication du monde (https://17juin.noblogs.org).
Ce qui pourrait donner un plus large écho à notre action.
Cela permettra également d’élargir le spectre de la lutte : il n’est pas uniquement question d’une opposition à une infrastructure autoroutière, mais à l’ensemble des activités et destruction qu’elle charrie.
Déroulement prévu :
1. Départ à la Talaudière sur la place de la Mairie à 17h
– on aura avec nous quelques épouvantails avec des tshirts jaunes ou chasuble bleu de la SCJ
– le temps de réaliser quelques prise de paroles devant les caméras de Bande d’Arrêt d’Urgence (les sujets sont libres, quelques exemples : retours sur 20 ans et + de luttes, qu’espère-t-on après le 16 juillet ? la lutte fini-t-elle un jour ? les « projets » de bétonnisation qui continuent d’arriver sur les territoire ? etc.)
2. Passage par Cellieu et prise de vue sur la tour (la Hune) – L’Ollière
– Tout pareil qu’à la Talaud (selon le monde dispo)
Destination Mornant et sa zone des Plattières objectif 20h
– Toujours pareil qu’avant, épouvantails + prise de parole
On compte sur vous nombreuses et nombreux, même si vous n’étiez pas inscrit·es pour nous rejoindre lors de ces points de RDV.
QUE FERONS NOUS LE 17 JUIN ?
Nous proposons de nous regrouper par petit groupe localement afin d’installer sur des lieux emblématiques de la lutte contre l’A45, des épouvantails symbolisant notre présence active contre les bétonneurs.
Ce sera l’occasion d’embarquer l’équipe de tournage de Bande d’Arrêt d’Urgence afin de recueillir nos témoignages sur les années de lutte passées et à venir. Une sorte de récit vidéos et photos de cette journée pourra par la suite être publié.
Les interviews témoignages, permettront à toutes et tous, d’aborder aussi bien les problématiques naturalistes, paysannes, commerciales (établissement de Steel et autres projets comme la zone des Platières), de la pollution en ville, du fantasme d’une ville qui serait « enclavée », du « monde d’après » où il y aurait moins de bitume et plus de légumes, moins de racismes et plus de justice…
RÉSULTATS
Une couverture médiatique attendue dans les médias locaux.
Publication le 26 juin, d’un nouvel épisode BAU incorporant le récit de cette journée.
Compléments d'info à l'article