Réflexions sur le vote contre le RN, l’autonomie des luttes sociales et le précédent Front populaire de 1936.
Dans cet épisode, Ugo Palheta discute avec Félicien Faury de son ouvrage qui vient de paraître : « Des électeurs ordinaires. Enquête sur la normalisation de l’extrême droite ». Livre important, dans lequel l’auteur rend compte d’une enquête sur l’électorat du FN/RN dans le Sud-Est de la France, et où il nous invite à prendre au sérieux la dimension raciale et raciste du vote pour l’extrême droite. Un podcast de l’émission « Minuit dans le siècle ».
Parler d’otages pour les uns et de prisonniers pour les autres, qui sont pourtant aussi détenus contre les principes du Droit international, cela relève d’une logique coloniale.
Ce 9 Juin 2024, le bras tendu par Emmanuel Macron au Rassemblement National confirme l’entente bourgeoise entre le fascisme et le capital, autour d’intérêts communs et hostiles aux classes sociales inférieures.
Un point de vue décolonial pour faire face aux mentalités individualistes « modernes » et libérales, des mentalités inadaptées à l’interdépendance de la vie quotidienne.
Enregistrement de la soirée du 24 mai à l’amicale du Crêt de Roc, sur l’histoire de la révolution syrienne et des départs de jeunes occidentaux pour le djihad, en présence de Montassir Sakhi, anthropologue marocain et auteur du livre La révolution et le djihad.
Ou pourquoi on doit arrêter d’utiliser les services de Proton pour les trucs répréhensibles et préférer des alternatives anarchistes et autogestionnaires.
Cette deuxième partie se tourne vers les humains.
Pour « motiver les troupes », les dirigeants n’ont de cesse d’infuser leur propagande par tous les moyens. Nous passons sur les sordides campagnes de recrutement qui incitent à « faire de sa vie une aventure » mais relaterons d’autres evenements de propagande ou tentatives d’embrigadement accompagnées, ça et là, de résistances à l’ère guerrière que nous vivons.
A force (de lire et) de relayer la propagande militariste, on se demande ce que cette revue de presse apporte à la critique. (Et aussi si nos nuits seraient moins angoissantes si on lisait moins)... Heureusement ici ou là on trouve des traces et des envies de résistances aux discours de plus en plus décomplexés.
Hiver 2023, mouvement social contre la réforme des retraites. Fonctionnaires, salarié·e·s d’entreprises publiques, étudiant·e·s sont en grève et dans la rue. Caissier·ères, ouvrier·ères du bâtiment, femmes de ménage, livreurs deliveroo et autres salarié·e·s de la « deuxième ligne » sont au taf. Les classes moyennes peuvent-elles faire seules la révolution ?
C’est forcément limité d’écrire depuis ici un court article sur cette situation, mais le silence semble pire. On ressent le besoin de mettre des mots sur ce qu’il se passe, pour faire sortir les émotions. Aussi pour tenter de s’extraire un peu de la propagande médiatique et étatique. Même si les mots ne suffiront jamais à faire face à cette violence profondément injuste qui s’abat sur une population entière.
Nous entamons notre deuxième volet de « Connaître l’extrême droite pour mieux la combattre » consacré cette fois-ci aux influenceur-euses d’extrême droite, ou du moins, ceux ou celles qui permettent de servir son propos. Dans cette deuxième partie, on se penche sur les cas de Millesime K, Christopher Lannes, Code Reinho et le Raptor Dissident.
Première partie d’un épisode qui va aux racines historiques du capitalisme, à partir de l’ouvrage Case Studies in the Origins of Capitalism, coordonné par Charles Post et Xavier Lafrance – avec ce dernier, professeur de sciences politiques à l’Université du Québec à Montréal, et auteur de l’ouvrage The Making of Capitalism in France. Class Structures, Economic Development, the State and the Formation of the French Working Class, 1750-1914. Un podcast de l’émission Histoire radicale.
Condamné.es à imaginer un avenir que le présent détruit. Résolu.es à défendre nos idées au milieu de l’abrutissement médiatique, nous regroupons ici quelques perles qui vous auraient échappé. Venant souvent de media mainstream qui n’ont plus que deux tristes couleurs (les gentils et les méchants) pour peindre le monde, nous rajoutons quelques infos provenant de palettes autonomes, pour contribuer autant que faire se peut à la fresque antimilitariste.
Nous entamons notre troisième volet de « Connaître l’extrême droite pour mieux la combattre » consacré cette fois-ci aux influenceur-euses d’extrême droite, ou du moins, ceux ou celles qui permettent de servir son propos. Dans ce premier volet, on se penche sur les cas d’Alain Soral, Papacito, Daniel Conversano et Thais d’Escuffon.