LE VÉGÉTARISME C’EST BON POUR LA SANTÉ DES ANIMAUX.
Les souffrances des humain-es attirent (dans les discours) l’attention et sont considérés comme inacceptables. Cependant, très peu d’humain-es se préoccupent de celle des animaux non-humains. Or quelques soient l’espèce, le sexe, le niveau intellectuel, le nombre de patte, ... de l’individuE qui l’endure, la souffrance reste de la souffrance et toute souffrance mérite qu’on y attache de l’importance. L’exploitation animale est donc aussi injuste pour les humains que pour les non-humains.
Un exemple : rien qu’en france et par an, la consommation de viande provoque la mort de 793 millions de poulets, 118 milions de dindes, 98 millions de canards, 292000 de veaux, vaches ou boeufs, 383000 moutons, des milliards de poissons. Et la liste est loin d’être exhaustive. [1]
Un deuxième exemple : les pays dits « du tiers monde » exportent régulièrement des céréales vers les pays « riches ». Céréales qui serviront, pour la plus part, à nourrir des animaux que « nous » mangerons ensuite. Consommer de la viande d’élevage gaspille beaucoup de nourriture.
Manger végétarien, c’est pas trop compliqué.
Feuilletez n’importe quel livre de diététique qui traite du sujet pour vous en persuader.
Il faut juste faire attention à 2 choses : le fer et les protéines. Manger régulièrement des céréales et des légumineuses (=légumes secs : lentilles, pois, haricots sec, soja, ...) et spécifiquement pour le fer, des légumes verts (laitue, épinards, ...), fruits et fruits secs (kiwi, amandes, noisettes, ...) et vous serez comblé-es.
De manière générale, une alimentation variée suffit pour être végétarien-ne sans problème.
Pour en savoir plus :
TAHIN PARTY : édition et diffusion de livres « politique » : la page des liens.
Alliance végétarienne
Le site de l’avis
La question n’est pas : peuvent-ils penser, ni peuvent-ils parler, mais : peuvent-ils souffrir ?
Jeremy Bentham (1748-1832), philosophe anglais.
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