Les paysages changent et les humains s’interrogent sur ce qu’ils veulent en faire. Entre exploitation forcenée d’une forêt uniquement vue comme une « ressource » de « biomasse » et envies de ne rien toucher pour faire des forêts des réservoirs de richesse touristique, les visions forestières sont nombreuses mais rarement dirigées vers les activités de ceux qui vivent à leur abord.
Les membres de la revue sur les luttes de montagne, Nunatak, viendront partager leurs expériences.
Rendez-vous dimanche à 16 heures tapantes.
Adhésion : 5 euros.
Evénement : prix libre.
Compléments d'info à l'article