Comme avant lui le Tribunal d’Orléans, celui de Versailles a reconnu que les prévenus avaient agi en état de nécessité face à la diffusion des semences transgéniques ; mais de plus, cette fois, les parties civiles ont été déboutées de leurs demandes de dommages et intérêts.
Au lendemain des interpellations de 3 personnes dans le cadre d’une plainte pour « association de malfaiteurs » ( !),
nous saluons cette décision qui reconnaît le principe de précaution et la légitimité des actions qui s’en réclament pour faire obstacle à la dissémination des OGM dans la nature.
Collectif des Faucheurs Volontaires d’OGM
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