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SAINT-ÉTIENNE  
Publié le 3 novembre 2018 | Maj le 25 avril 2020 | 1 complément

De la maternelle à l’Université, toutes et tous en grève le 12 novembre


Évaluations délirantes, réformes à la hussarde, suppressions de postes, surenchère sécuritaire... le ministre de l’éducation remodèle à grande vitesse l’école publique. Son objectif : une école... privée, contre le peuple, au service des patrons. Stoppons-le ! De la maternelle à l’Université, toutes et tous en grève le 12 ! À Saint-Étienne, manifestation à 10h, départ de la Bourse du travail.

  • Plus de 1000 personnes à la manifestation

    Plus de mille personnes dans les rues de Saint-Étienne selon les syndicats. Un taux de participation important dans plusieurs établissements du secteur. A noter la présence de lycéen.ne.s dans le cortège qui s’est terminé devant le siège de l’Inspection académique.

Texte d’appel à la grève et manifestation de la CNT-f Éducation :

En saturant l’espace médiatique par ses annonces, Jean-Michel Blanquer déploie une authentique offensive idéologique contre l’égalité à l’école, les conditions de travail et les pédagogies émancipatrices.

Les mesures pour ce début d’année 2018 peuvent se résumer à « décoder, évaluer, sélectionner ». De la Maternelle – un chantier est annoncé pour « clarifier » les programmes et imposer des « repères annuels de progression » – à l’Université, le ministre veut développer une véritable culture de l’évaluation.

Des élèves de CP à celles et ceux des classes de Seconde, c’est la chasse aux compétences. Une chasse qui interdit l’émancipation. C’est d’ailleurs la philosophie du texte de lecture proposé aux CP…. Collégiens et lycéens ayant droits à des QCM !

Mesurer, contrôler, il s’agit bien de soumettre élèves et enseignants à une culture du résultat. La loi votée le 1er août par l’Assemblée Nationale portant sur la réforme de la formation professionnelle et l’apprentissage, la loi ORE, Parcoursup, la réforme du bac, le projet de lycée « modulaire » donnent une cohérence à la multiplication de ces injonctions.

Une école contre le peuple, pour les élites.

A la presse encore, le premier ministre a annoncé la suppression de 4500 postes dans la Fonction publique l’an prochain. Blanquer envisage une réforme de la formation initiale pour 2019, une économie possible de 25.000 postes dans l’Education nationale. Ajoutés aux 1 66.000 postes de « contrats aidés » qui seront encore supprimés, l’école publique est aussi « prioritaire » pour faire des économies.

La liberté pédagogique remise en cause

La fin de l’année scolaire 2017-2018 a été marquée par une augmentation des contraintes exercées sur les équipes enseignantes d’écoles maternelles ou élémentaires pour qu’elles s’engagent dans des actions d’apprentissage de la lecture conduites par l’association Agir pour l’École. Tout en tenant un discours affirmant le respect de la liberté pédagogique, des autorités départementales ou académiques ont usé de moyens divers pour exercer des pressions qu’il s’agisse d’initier ces actions ou de contraindre à leur poursuite.

L’émancipation par le savoir ne se mesure pas par des compétences à atteindre, des hiérarchies, des sélections.

Appel de SUD Éducation Ain Rhône Loire

Contre les suppressions de postes et la précarité, pour des embauches massives de fonctionnaires et la titularisation sans condition des personnels en contrats précaires ! Contre les réformes Blanquer, ni amendables, ni négociables !

Le rouleau-compresseur Blanquer essaie d’aplatir l’Éducation nationale. Les réformes s’accumulent et toutes s’inscrivent dans la continuité du projet à la fois libéral et réactionnaire que le ministre a pour l’école et ses personnels.

Un projet de loi régressif

Le ministre présente un projet de loi qui :

- Permettra de financer toujours plus le privé, en étendant le financement à la charge des communes aux écoles maternelles privées ;
- Organise la reprise en main par le ministère de la formation des enseignant-e-s, qui seront amené-e-s durant leur formation à remplacer au pied levé les titulaires ;
- Prévoit des attaques contre le statut, notamment l’annualisation des services, par le biais d’expérimentations imposées par la hiérarchie
- Permet au gouvernement de légiférer par ordonnance en matière éducative, notamment sur le découpage territorial

Le torpillage de l’éducation prioritaire et attaques contre les statuts des enseignant-e-s

Les signes sont clairs :

- Refus du ministre d’actualiser la carte de l’éducation prioritaire, pour mieux expliquer que le dispositif REP/REP+ est obsolète ;

- Blanquer confie à P. Mathiot, à qui il avait confié un rapport qui s’est traduit par la réforme du lycée, un rapport sur l’éducation prioritaire ;
- Un rapport de la cour des comptes vient à point nommé préconiser ce que le ministre s’apprête à mettre en application.

Le ministre prévoit :
- le recrutement sur postes à profil dans les écoles et établissements, ce qui constitue encore une attaque contre les statuts des fonctionnaires.
- L’instauration d’une prime au mérite, et à plus long terme, la fin du classement REP et REP+. Les écoles et établissements devront négocier des contrats établis sur la base d’indicateurs obscurs avec l’administration pour obtenir les moyens nécessaires à leur fonctionnement.

En somme, il s’agit de faire un sort à l’éducation prioritaire.

À cela s’ajoute le projet d’intercaler une hiérarchie intermédiaire à tous les échelons. Un rapport publié cet été préconise de faire des directeurstrices des écoles des supérieur-e-s hiérarchiques des PE.

Le sabordage de l’enseignement professionnel

L’enseignement professionnel n’est pas épargné. L’injonction est toujours la même : faire mieux, avec moins. Les suppressions d’heures d’ensei- gnement, et donc de postes dans toutes les matières, ainsi que de la taxe d’apprentissage videront les lycées professionnels de leur substance au profit de l’apprentissage. Le ministre avance ses pions pour préparer la destruction du lycée professionnel.

Le projet de Blanquer pour l’école, c’est celui de la concurrence des familles, des élèves, et établissements et des person- nels entre elles et eux. Cela se traduira aussi dès 2019 par la mise en place d’un classement des établissements qui ne pourra qu’exacerber encore les tensions entre établissements. Notre projet d’école est radicalement opposé à tout cela : nous luttons pour une école véritablement gratuite, laïque, émancipatrice.

Pour SUD éducation, une seule journée isolée ne permettra pas de gagner sur nos revendications. Pour nous, la journée de grève du 12 novembre doit être un point d’appui pour mettre en débat dans les assemblées générales la grève reconductible, seule à même de faire plier le gouvernement.

Appel de la CGT Éduc’action

Parce que les choix idéologiques et budgétaires du gouvernement entrainent le tri social de nos élèves la dégradation de nos conditions de travail les suppressions de postes TOUS et TOUTES en grève le 12 novembre 2018

Faux :

L’école est une priorité ?

1800 suppressions globales de postes dans les collèges et lycées pour la rentrée 2019 !
- 2600 suppressions de postes dans
le second degré avec une augmentation du nombre d’élèves
- Hausse des effectifs/classes
- dégradation des conditions d’étude des élèves et de travail des personnels.
- Suppression de 400 postes administratifs et techniques. 1 poste supprimé dans un EPLE ou un service, c’est du travail reporté sur les personnels maintenus en place et une mobilité forcée. objectif budgétaire 2019 : 3000 suppressions de postes dans le second degré public et les services administratifs !

Priorité donnée au 1er degré ?

Création de 1800 postes fléchés pour les dédoublements CP-CE1 en éducation prioritaire.
Mais pas assez nombreux pour couvrir tous les besoins, il y aura donc
- des suppressions de postes pour compenser les besoins

Vrai :

Des salaires toujours bloqués : l’arnaque PPCR !

Avec le PPCR, c’est :

- l’accentuation de la pression hiérarchique
- la création d’une classe exceptionnelle qui exclut 80% des agent·es
- une rémunération au mérite sans revalorisation salariale réelle.
- la casse du statut général de la Fonction publique
C’est surtout un retour à la politique Sarkozy :
- gel du point d’indice
- suppression massive de postes
- développement des heures supplémentaires pour « augmenter » les salaires…

Avec ces mesures, c’est une nouvelle dégradation des conditions de travail, le développement de la concurrence entre collègues, l’arbitraire des chef·fes d’établissement et le danger de voir intégrer les 2h sup dans les ORS des personnels (CAP 2022 préconisait la création d’un nouveau corps à 20h hebdomadaires)…

Des réformes contre les élèves et les personnels

Réforme du lycée, de l’enseignement professionnel, évaluations généralisées, attaque contre la liberté pédagogique…

Les réformes Blanquer accentuent le tri social, la sélection généralisée, la remise en cause de la liberté pédagogique…mais aussi la suppression de postes. Le ministre reconnaît que la réforme du lycée permettra de « mieux ajuster » les effectifs par classe et le démontre en annonçant la diminution des horaires élèves en lycée

Tous et toutes ensemble contre la casse sociale !

Après le droit du travail, c’est le statut de la Fonction publique qui est attaqué !

Avec CAP 2022 :
- affaiblissement (voire suppression) des commissions paritaires au bénéfice du pouvoir discrétionnaire de l’administration sur la carrière des personnels,
- individualisation des salaires avec les primes au mérite.

Plus globalement ce sont tous les droits collectifs et solidaires qui sont ciblés, avec la volonté d’en finir avec le salaire socialisé : transfert des cotisations sociales vers l’impôt et passage à une retraite par points, totalement individualisée, qui va entraîner des baisses des pensions.

Tous et toutes en Grève le 12 novembre 2018 Appel national des syndicats FNEC FP-FO, CGT Éduc’action et Sud Éducation

Le projet de loi « pour une école de la confiance » est présenté aux instances consultatives dans la précipitation. Le ministre veut le soumettre au parlement en janvier pour une application à la rentrée 2019. Ce projet de loi autorise le gouvernement à légiférer par ordonnances sur la réforme territoriale. La fusion des académies existantes est un pas de plus vers une régionalisation de l’Éducation nationale et la remise en cause des règles nationales.

Les autres dispositions essentielles de ce projet de loi sont en totale cohérence avec la remise en cause des garanties nationales avec la possibilité, sous couvert d’expérimentation, d’adapter localement les horaires d’enseignement. Nous demandons le retrait de ce projet de loi.

2 650 postes seraient supprimés dans le 2d degré à la rentrée 2019, auxquels il faut ajouter la suppression de 400 postes de personnels administratifs : les annonces ministérielles ne font que confirmer ce que nous savions déjà  : la « priorité à l’éducation » revendiquée par le gouvernement n’est qu’une illusion. Ces suppressions sont indissociables des contre-réformes engagées par le ministre, en particulier celles du lycée, du baccalauréat et de la voie professionnelle.

Ces attaques inacceptables contre l’École publique et ses personnels font système avec les attaques contre le statut général des fonctionnaires et les 120 000 suppressions de postes prévues dans la Fonction publique, sur le quinquennat.

Des salaires toujours gelés !

La valeur du point d’indice a été gelée de 2010 à 2016 et l’est de nouveau depuis 2017, les retenues pour pension civile ont augmenté, et la CSG majorée de 1,7 point.

Et maintenant : les retraites !

Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites, a confirmé l’intention du gouvernement d’instaurer un régime universel par points en vigueur à partir de 2025 et donc de supprimer le Code des pensions. Cela signifierait la fin de la référence aux 6 derniers mois de salaire, dès lors, les salarié·es ne pourront plus prévoir leur âge de départ ni le montant de leur retraite, c’est pourquoi nous nous opposons à ce projet.

Face à cette offensive généralisée contre nos droits, nos salaires, nos postes et nos conditions de travail, nos organisations FNEC FP-FO, CGT Éduc’action, Sud Éducation appellent les personnels à se réunir en assemblée générale, et exiger du ministre :

  • l’arrêt des suppressions de postes et la création des postes statutaires nécessaires ;
  • le retrait de Parcoursup, de la réforme du lycée et du baccalauréat, l’abandon de la réforme de la voie professionnelle et le retrait du projet de loi pour « l’école de la confiance » ;
  • l’abandon de la fusion des académies.

Elles appellent les personnels de l’Éducation nationale à se mettre en grève le 12 novembre

Appel national de la voie professionnelle des syndicats CGT Éduc’action, SNUEP, SNEP, SNALC, Sud Éducation, SNCL, SIES, CNT Educ

Contre la réforme Blanquer de la voie professionnelle
Ensemble : mobilisons-nous le 12 novembre
Ensemble : défendons les conditions d’études de nos élèves et nos conditions de travail !

Grace aux premières mobilisations des personnels, le ministre a été contraint à des premiers reculs sur ses deux projets de grille horaire Bac Pro et CAP. Cependant ces minces modifications, qu’ensemble nous avons imposées, ne permettent pas d’enrayer les graves dangers contenus dans ces grilles et engendreront les suppressions de 2500 postes d’ici la fin de la mise en oeuvre de la réforme de la voie professionnelle.

Mercredi 10 octobre, l’intersyndicale a porté les revendications des PLP et voté CONTRE ces grilles horaires au Conseil Supérieur de l’Éducation qui a émis un avis défavorable sur ces deux premiers textes réglementaires. Ensemble forçons le ministre à respecter cet avis !

Il veut maintenant imposer aux personnels, dès la rentrée 2019, des secondes « famille de métiers » qui repousseront la spécialisation à un métier en classe de première et entraîneront une déprofessionnalisation avérée de nos formations. Les filières concernées par ces 3 secondes « généralistes » sont :

– Les métiers relation clients qui regroupent : Vente/Commerce/Accueil ;
– Les métiers de la gestion administration, du GA, et des Transports qui regroupent : GA, Logistique et transport
– Les métiers de la construction durable, du bâtiment et des travaux publics qui regroupent les filières Travaux publics, Technicien du bâtiment : organisation et réalisation du gros oeuvre, Interventions sur le patrimoine bâti option A Maçonnerie, option B Charpente, option C Couverture, Menuiserie-aluminium-verre, Aménagement et finitions du bâtiment, Ouvrages du bâtiment : Métallerie

D’autres projets, d’ores et déjà à l’étude pour une mise en oeuvre à la rentrée 2019, engendreront des situations infernales dans nos classes. C’est le cas du mixage des publics et des parcours ou encore du temps dans les mêmes classes de CAP (1, 2 ou 3 ans).

L’Intersyndicale revendique

- Sur les grilles horaires :
L’intersyndicale exige que toutes les disciplines bénéficient d’heures suffisantes pour dispenser des savoirs solides, que des moyens conséquents soient fléchés pour des dédoublements - notamment dans les matières générales et que la co-intervention imposée à moyen constants soient retirée de ces grilles et reste possible sur la base du volontariat des enseignant·es.

- Sur les postes :
Le ministre prétend vouloir revaloriser la voie professionnelle or il organise une réforme pour économiser des moyens sur le dos des PLP et des élèves. Ensemble refusons avec force toutes les suppressions de postes dans la voie professionnelle et exigeons des moyens pour améliorer nos conditions de travail !

- Sur les fusions de diplômes :
L’intersyndicale refuse la fusion des diplômes bac pro vente et commerce qui n’est qu’un outil pour supprimer encore plus des postes. Ne les laissons pas faire un GA Bis !

- Familles de métiers :
L’intersyndicale refuse la mise en oeuvre des classes Familles de Métiers qui serviront à supprimer de postes et à terme à réduire le nombre de diplômes. Les jeunes ont besoin de savoirs professionnels solides pour une entrée durable dans l’emploi.

- CAP :
L’intersyndicale exige que des classes spécifiques soient créées pour les jeunes qui passeront le CAP en 3 ans.

- Gestion Administration
L’intersyndicale refuse toute fermeture sèche des filières GA. Elle exige pour les jeunes, des ouvertures de sections dans d’autres filières et une rénovation ambitieuse des contenus d’enseignement. L’intersyndicale refuse les reconversions forcées pour les personnels et s’engage à soutenir les collègues et les établissements contre toute pression.

L’ensemble des dispositifs de cette réforme va engendrer des difficultés croissantes pour les personnels et entraver les parcours scolaires et professionnels des jeunes.

C’est pourquoi l’intersyndicale appelle les personnels :
– À mettre en place des heures d’informations syndicales pour échanger sur les dangers de cette réforme
– À s’organiser dans les établissements pour établir une riposte syndicale à la hauteur des attaques en augmentant la mobilisation.
– À se mettre en grève le 12 novembre 2018 dans le cadre de la mobilisation intersyndicale Éducation contre les suppressions de postes, pour obtenir une autre réforme de la voie professionnelle du lycée et à organiser des cortèges « Voie Professionnelle » visibles dans les mobilisations

Ensemble : mobilisons-nous le 12 novembre
Ensemble : défendons les conditions d’études de nos élèves et nos conditions de travail !


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  • De plus, un blocus lycéen est prévu à 8h au lycée Honoré d’Urfé, grand portail.
    Toute personnes se sentant concerné-e-s par cette réforme et ces suppressions de postes est invité à nous rejoindre.
    Nous rejoindrons la manifestation à 10h à la bourse du travail.
    https://www.facebook.com/revoltesst...=68.ARBhJibXfcetCi8mrtGhfH5JDOrCDfMAW7znHRo0_x5X0C7pm5PvjWUUFZcGpfE6ErHqiLS9ZLGUA0wIa6oV2S7a-YaoxSCSE1mSZKcou4jRxetHq1fIGAvBP6kiQImwM5w8hq1GoIPQIjCSEKYTk02kGERI1Pw2y8YZoVN66wu703jW_FfQxaatHM_CZ64ygPo-rQorpShhzzUOGjCWeWvRKZu_WwnCPlB6EH1s35_hw1YnOfaDDOQFYsUa2biJAgtvjjQ7writaV1neow6TQYct3cwb15A_uDqAaCAZWcpz1UMnrjBaYTK_gNBOuOkpEeVAOQdOBWVpi-nhMgYcEzSOCDlEXnN7oE&__tn__=-R]

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