Les participants ont notamment exigé l’abrogation de plusieurs lois adoptées par l’ancien gouvernement de Silvio Berlusconi :
la loi Biagi de 2002, qui a rendu le marché du travail plus précaire en mettant à la disposition des employeurs italiens de nouveaux CDD avec de failbes rénumérations ;
la « loi Moratti » de 2005) réformant l’éducation ;
la loi « Bossi-Fini » (2003) sur l’immigration.
Tous ces textes ont été adoptés sous le gouvernement de Silvio Berlusconi. Toutefois, l’actuel gouvernement de Romano Prodi est égalemenent critiqué, notamment de part les 10 milliards d’euros de réductions de dépenses publiques pour l’Etat central et les collectivités locales.
« Faites quelque chose qui soit de gauche, assumez ! » clamaient ainsi plusieurs banderoles.
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