Après l’installation d’une antenne 4G à 250 mètres de leur ferme, la production de lait a chuté, et les vaches sont rentrées en léthargie complète, 50 seraient mortes (sur 200).
Le tribunal administratif de Clermont-Ferrand a décidé d’un arrêt de 2 mois pour comparer leur vitalité avec ou sans ondes électromagnétiques, mais le Conseil d’état a annulé cette décision.
NOUS DEMANDONS LE RESPECT DE LA DÉCISION DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF POUR PERMETTRE L’EXPERTISE
FACE À L’EXPLOSION DU NOMBRE D’ÉLECTRO-SENSIBLES (DÉJÀ PLUS DE 5 % DE LA POPULATION FRANCAISE), NOUS EXIGEONS DE VRAIES MESURES DE PROTECTION
C’est en effet la première fois qu’une décision de justice - encore modeste : débranchement pendant deux mois pour expertiser - intervient dans ce type d’affaires qui se multiplient au gré des implantations nouvelles d’antennes (triplement prévu dans les zones rurales, avec la disparition programmée des zones blanches où se réfugiaient les EHS ; 30% en plus en ville).
Une victoire permettrait d’aborder la pollution, l’électro-smog, dont sont victimes aussi les humain.e.s, pour le moment totalement niée par le pouvoir. Il a notamment fait donner l’ANSES (Agence Nationale Sécurité Sanitaire) pour produire un rapport scandaleux qui refuse toute implication de la 5G en prétextant qu’il n’y aurait pas d’étude prouvant des effets négatifs sur la santé, ce qui est faux.
D’après une recherche effectuée par les auteurs du documentaire « L’onde d’un doute », 1527 études dans le monde (soit 68% des études sur le sujet) prouveraient qu’il y a bien des effets, même en dessous des valeurs limites fixées par l’ICNIRP.
Extrait du documentaire « L’onde d’un doute » relatif à l’ICNIRP
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