Actualité et mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
MÉMOIRE MOUVEMENT OUVRIER
SAINT-ÉTIENNE  
Publié le 18 novembre 2024 | Maj le 1er novembre 2024

La grève des passementier.e.s de 1834


Cet article a été publié par Alain Bujard en décembre 2015 dans le Cahier d’Histoire Sociale de l’IHS Rhône-Alpes. Il est extrait des pages consacrées au mouvement ouvrier dans la Loire avant la création des syndicats (ndFI).

La grève des passementiers de Saint-Étienne se préparait depuis plusieurs années. L’insurrection des canuts lyonnais, en 1831, avait fortement influencé les passementiers de Saint-Étienne. Ces deux grandes villes, distantes de moins de soixante kilomètres, étaient déjà reliées par un chemin de fer. L’industrie du ruban, à Saint-Étienne, et celle des soieries de Lyon groupaient le même nombre d’ouvriers ; c’étaient deux industries sœurs. Le travail s’effectuait de la même façon et les conditions de travail étaient semblables.

Cependant, les passementiers de Saint-Étienne subissaient l’ascendant des canuts lyonnais qui jouissaient du prestige de l’émeute de novembre 1831 où ils avaient pendant quelques jours été les maîtres de la ville.

D’autre part, ces derniers étaient bien organisés. La plupart des chefs d’ateliers appartenaient à la société “Mutualiste” dont l’influence fut prépondérante dans l’insurrection de 1831. Quant aux ouvriers, beaucoup appartenaient à la société “Les Ferrandiniers”.

Des journaux paraissant à Lyon défendaient les tisseurs. Le plus important était “L’Echo de la Fabrique” qui devint par la suite l’organe du “Mutualiste”. L’Echo des travailleurs s’occupait plus particulièrement des intérêts des ouvriers. Deux autres journaux, “Le Précurseur” et “La Glaneuse”, défendaient les tisseurs, surtout contre les attaques d’un autre journal réactionnaire : “Le Courrier de Lyon”.

Enfin, pendant les années qui précédèrent le conflit, plusieurs contacts eurent lieu entre les canuts et les passementiers de Saint-Étienne pour organiser l’action destinée à arrêter la baisse des salaires et même à en imposer la hausse.

L’effervescence qui avait gagné les passementiers de Saint-Étienne lors de l’insurrection lyonnaise de 1831 s’était calmée pendant les mois qui suivirent la répression. Cependant en 1832, divers incidents furent le signe avant-coureur du malaise qui existait dans l’industrie du ruban.

D’ailleurs, les pouvoirs publics de la région s’inquiétaient de l’état d’esprit des passementiers et de la suite de l’émeute de Rives. Le procureur du Roi écrivait à l’époque au Ministre de la Justice : “Il n’y a qu’une classe d’ouvriers fort nombreuse, les passementiers, contre lesquels nous devons sans cesse nous tenir en garde. S’ils levaient l’étendard de la révolte, ce ne serait que pour se livrer au pillage. Leur misère est fort grande en ce moment, mais ils sont loin d’avoir l’audace et l’esprit d’insubordination qu’on a toujours remarqué chez les ouvriers canonniers”.

En janvier 1832, un membre de cette corporation, Drivon, publia une brochure sur la situation des ouvriers passementiers. Dans ce document prophétique, l’auteur invitait les fabricants, s’ils voulaient éviter une répétition des événements de novembre à Lyon “à porter une main réparatrice aux abus”. Dans un esprit d’ordre, il demandait aux ouvriers “de ne pas écouter les suggestions subversives que pouvaient leur inspirer les souffrances et les besoins dont ils étaient assiégés.”

Ces conseils de sagesse n’eurent aucun effet. En 1833, la baisse des salaires qui se pratiquaient depuis quelques années s’accentua. Les ouvriers adressèrent des plaintes et des rapports à la sous-préfecture sans obtenir de résultat.

Pourtant le lieutenant de gendarmerie, Faucheux, chargé par le Sous-Préfet d’enquêter sur la question déclarait dans son rapport : “il faut dire la vérité, l’ouvrier souffre”. Le Sous-Préfet Mollard, qui suivait de très près la marche du mouvement, se rendait compte que l’agitation allait en s’aggravant. Ses rapports au Préfet Bret étaient empreints d’un certain pessimisme. Néanmoins, par tactique, il s’opposait aux poursuites judiciaires demandées par le Préfet qui accusait les passementiers d’avoir partie liée avec les mutualistes lyonnais.

L’organisation des Passementiers

Devant cette situation, l’idée d’organisation se développa chez les passementiers. Comme chez leurs camarades de Lyon, l’association leur semblait le seul moyen de défendre leurs intérêts. Dès le début de 1833, fut fondée “La société mutuelle de secours”, formée par les chefs d’ateliers passementiers de la ville de Saint-Étienne. A son début, cette société n’avait qu’un caractère mutualiste. Son but était de donner des secours à ses membres sans travail. Quelques temps après, la Société créa une filiale qui avait pour titre : “La Société générale des Passementiers” et dont le but était surtout d’oeuvrer pour le maintien des prix de main-d’oeuvre ou de façon.

La création de cette nouvelle Société à base syndicale avait eu lieu à la suite de l’envoi à Lyon, de délégués des passementiers pour étudier l’organisation “mutualiste”.

On était alors aux premiers mois de l’année, à un moment où les fabriques de rubans étaient en pleine activité. Malgré cela, les salaires étaient en baisse, les prix de fabrication variaient d’un fabricant à l’autre et des abus se produisaient dans la mensuration du travail. Aussi, les passementiers disaient : “Si nous ne voulons pas tout à fait devenir esclaves ou être entièrement avilis, il nous faut des assemblées et, par la suite, une association”.

Dès le début de sa création, “La Société générale des passementiers” envisagea la création de bureaux de placements et le refus du travail dans les ateliers où un taux minimum de salaire ne serait pas respecté.

Cependant, le caractère ouvrier de cette organisation amena des heurts entre les chefs d’atelier et leurs ouvriers. Les fabricants réduisaient le prix des façonnages et les ouvriers désiraient le relèvement de leur salaire. Mais, comme les chefs d’ateliers ne pouvaient pas lutter contre les fabricants qui leur procuraient du travail, ils étaient dans l’obligation de réduire les salaires. Cependant, chefs d’ateliers et ouvriers sympathisaient et comprenaient que leur ennemi commun étaient le fabricant.

Les premières manifestations

A la suite d’une nouvelle diminution des prix, les chefs d’ateliers, réunis dans une salle, à Badouillère, le 4 mai, nommèrent une vingtaine de syndics pour préparer un tarif de façonnage. Quinze jours après, les syndics adressèrent un projet de tarif minimum aux fabricants.

La lettre d’envoi était d’une parfaite correction. Cependant, les autorités locales, qui jugeaient ce geste subversif, découvrirent une menace dans la phrase suivante : “Alors Messieurs, le malheur serait grand, car que répondre à nos collègues ?”. Et pourtant ces paroles exprimaient seulement un sentiment d’inquiétude bien légitime.

Les fabricants résistaient, bien que l’un d’entre eux, nommé Granjasse (qui était des plus influents) eut montré dans une lettre que les ouvriers avaient raison de désirer un tarif fixant les prix du façonnage, tarif qui ne pouvait que cimenter le pacte d’amitié entre patrons et ouvriers.

De son coté, le Sous-Préfet Mollard, qui craignait que cette agitation s’étendit aux mineurs, convoqua individuellement les syndics à son cabinet et leur demanda de ne pas insister sur le tarif. Ceux-ci s’inclinèrent, mais décidèrent d’utiliser un autre moyen. Ils portèrent leurs efforts sur la création de la caisse de secours, qui avait été ajournée.

Dans une réunion, tenue le 31mai, à Montaud, ils établirent la base de la nouvelle organisation dont le caractère revendicatif était indiscutable. Les moyens à utiliser étaient la pratique de la mutualité et la pression sur les patrons.

Pour échapper aux rigueurs de la loi, qui toléraient les groupements jusqu’à vingt personnes seulement, les sections de la nouvelle organisation étaient composées de 15 à 17 membres. Elles désignaient des délégués qui formaient des comités plus restreints. Ces comités nommaient d’autre comités jusqu’au comité central. Le prix de la cotisation mensuelle était de 1,5 franc par métier Jacquard et de 1 franc par métier à tambour.

Dans les réunions, il était interdit de parler politique. Seules les discussions sur les questions de prix, sur l’aunage et sur la mutualité y étaient tolérées. Un mois après la création, il existait déjà quatre-vingts sections. L’organisation était terminée. La société était prête pour l’action qui ne se fit pas attendre.

Au début du mois de juillet, un ouvrier refusa de livrer les treize aunes au lieu de douze, exigées par le fabricant Collard, premier adjoint au maire de Saint-Étienne. C’était alors la coutume que seulement les douze premières aunes fussent payées à l’ouvrier, la treizième ne l’étant pas, ce qui constituait un bénéfice pour le fabricant. Ce patron, pressé de commandes, dut céder après une grève de deux heures dans son atelier.

Bien que le Procureur du roi eut lancé, sur la plainte de Collard, six mandats d’arrêt contre les organisateurs du mouvement, ce dernier dut signer un engagement sur la question de l’aunage avec l’ouvrier qui avait refusé de travailler sans rétribution.

Le même cas se produisit pour un chef d’atelier qui refusait de rentrer dans l’organisation. Ses quatre ouvriers quittèrent l’atelier et le patron, nommé Dufour, qui était lui aussi conseiller municipal de Montaud, dut s’incliner.

Enfin, en août et début septembre, les funérailles de deux passementiers permirent à la société de passer ses troupes en revue. Plus de deux mille d’entre eux y assistèrent ; ce fut une véritable mobilisation de l’organisation corporative. A ce moment, la Société prononça la mise à l’interdit de plusieurs négociants.

Devant le développement de l’influence de l’organisation, les autorités, inquiètes, redoutaient un mouvement politique. Déjà, le préfet Bret écrivait, le 2 juillet, de Montbrison, qu’il y avait lieu d’envisager de commencer des poursuites judiciaires. Mais il y avait peu de troupes à Saint-Étienne et la Garde Nationale était peu sûre.

De leur coté, les passementiers prenaient confiance. Dans une lettre au procureur du Roi, ils affirmaient “que ce n’est pas la troupe qui les obligeraient à travailler à bas prix et les empêcheraient de s’aider les uns les autres”.

L’inquiétude préfectorale sur le caractère politique de l’agitation était exagérée. Le Parti Républicain, dont les deux chefs, à Saint-Étienne, étaient Faure et Caussidière, n’avait pas une grande influence sur les ouvriers.

D’autre part, il semblait probable que les passementiers ne se lanceraient dans la bataille que si Lyon, qui avait donné l’exemple en 1831, recommencerait le mouvement.

Des contacts eurent lieu entre les canuts et les passementiers stéphanois. Le 10 novembre, un banquet fut organisé à Givors, réunissant 150 mutualistes de Lyon, 230 de Saint-Chamond et 60 passementiers de Saint-Étienne. Au mois de novembre, une grève fut le point de départ du mouvement. Un chef d’atelier Texido, refusa d’exécuter une commande de la maison Janvier-Fontvieille qui était mise à l’index par l’organisation. La maison Janvier-Fontvieille cita Texido devant le Conseil de Prud’homme pour rupture de contrat et ce dernier fut condamné à des dommages intérêts. Finalement, une détente eut lieu. Les fabricants retirèrent leur plainte et Texido put reprendre son activité.

C’est alors que le Sous-Préfet eut l’idée de créer une organisation indépendante des ouvriers passementiers pour les détacher de la société. Ne pouvant empêcher le développement de celle-ci, il tenta de semer la division dans la corporation en faisant poser une affiche dans laquelle il promettait la protection des lois aux ouvriers qui refuseraient de se soumettre aux règlements établis par la Caisse de Secours.

Caussidière se servit habilement de cette affiche pour la propagande républicaine. Il publia une réponse qu’il fit distribuer aux passementiers et dans laquelle il dénonçait en termes virulents la duplicité des pouvoirs publics qui prenaient parti pour les patrons en tentant de diviser les ouvriers. D’ailleurs, l’appel du Sous-Préfet n’obtint aucun résultat et une grève eut lieu le 2 décembre à l’atelier des frères Jamet qui travaillaient pour une maison frappée d’interdit par l’Association.

La fermentation des esprits continua jusqu’à la fin de l’année et au début 1834. Une pétition adressée au roi, le 13 novembre, sur les besoins des chefs d’atelier et des ouvriers, était restée sans effet et avait favorisé l’agitation.

C’est alors qu’eut lieu la deuxième insurrection de Lyon.

La grève et l’émeute de Lyon

La baisse sur les salaires décidée par les chefs de fabrique lyonnais au début de l’année 1834 amena une grève générale des tisseurs de cette ville. Le 14 février, les trente mille métiers de Lyon cessèrent de fonctionner sur l’ordre de deux sociétés : “Le Mutualiste” et “Les Ferrandiniers”. Cette grève ne dura que quelques jours et les canuts reprirent le travail le 24 février sans avoir obtenu satisfaction.

Mais cet échec n’avait pas abattu leur courage. Leur esprit de révolte fut ranimé par la déclaration du ministre Casimir-Perrier à la tribune de la Chambre des députés : ‘Il faut que les ouvriers sachent bien qu’il n’y a de remèdes pour eux que dans la patience et la résignation”. Leur hostilité au Parlement se trouva renforcée lors de la discussion d’une loi qui, en apparence, reconnaissait le droit d’association des ouvriers, mais qui avait en réalité pour but d’aggraver les dispositions du code pénal à leur égard.

Le 9 avril, jour où commençait devant les tribunaux le procès des chefs d’ateliers et des ouvriers poursuivis à la suite de la grève de février, fut également celui de la cessation du travail.

Cette grève se transforma en une insurrection qui dura six jours et se termina par la défaite des ouvriers et des républicains. Il y eut de nombreux morts et blessés et quatre cents arrestations.

Déjà, le 19 février, quelques républicains qui chantaient “La Marseillaise” se trouvèrent aux prises avec la police qui leur signifia d’avoir à se disperser. Le lendemain, la foule se réunit dans la rue et entonna l’hymne de Rouget de Lisle. La police intervint et des manifestants furent arrêtés. On voulut les incarcérer mais, devant la prison, leurs camarades tentèrent de les délivrer.

Une violente bagarre éclata. Plusieurs manifestants furent blessés à coup de baïonnette, ainsi qu’un commissaire de police ; un agent fut tué d’un coup de couteau. Une centaine d’arrestation eurent lieu par la suite.

Parmi les personnes arrêtées se trouvait Caussidière, le chef des républicains stéphanois qu’on essaya de rendre responsable du décès de l’agent. Caussidière eut d’ailleurs une attitude courageuse. Dans une lettre qui fut publiée quelques jours après, il revendiqua la responsabilité d’avoir organisé la manifestation pour protester contre l’interdiction du chant “La Marseillaise”. Il déclara également que les manifestants avaient eu raison de se défendre contre les brutalités de la police.

Les journaux de l’époque exploitaient ces incidents pour défendre la royauté contre ceux qu’ils nommaient “Le Parti du désordre”. De son coté, le Préfet publia un appel aux habitants de Saint-Étienne les invitant à être calmes et à ne pas troubler l’ordre.

Les suites de l’émeute

Le mouvement avait avorté et les passementiers stéphanois ne purent, malgré leur désir, rejoindre leurs camarades lyonnais. Les jours suivants, on fit le bilan de l’émeute : cinq morts chez les manifestants et un soldat tué. Les blessés se comptaient par dizaines. Plus de cent réverbères, deux magasins et plusieurs guérites de soldats avaient été détruits. Plus de cent arrestations eurent lieu et de nombreuses condamnations furent prononcées par les tribunaux.

Le Préfet suspendit la garde nationale qui n’avait pas voulu lutter contre les manifestants. Il exigea que tous les gardes rendent leur fusil. Environ 2400 seulement, sur 3800 s’exécutèrent.

A Saint-Étienne, comme à Lyon, ce furent surtout les corporations ouvrières qui organisèrent les journées d’avril ; il n’en fut pas de même à Paris, Grenoble ou Marseille. Le Gouvernement voulait voir dans cette affaire un complot politique organisé par la Société des Droits de l’Homme qui groupait les républicains. Une instruction fut ouverte à ce sujet et deux mille arrestations furent opérées en France. Les chefs mutualistes de Lyon et de nombreux ouvriers furent poursuivis.

La mobilisation de la classe ouvrière stéphanoise ne s’arrête pas là. Viendront ensuite des mouvements tout aussi violents et durement réprimés en particulier dans le textile et les mines [1]. Nous vous renvoyons aux articles déjà publiés sur ces sujets dans nos cahiers. [2]

P.-S.

Notes

[1Les passementiers avaient d’autres raisons pour s’unir : la déloyale concurrence du tissage de la soie et la passementerie dans les couvents. Malgré une suspension décidée par le maire, accompagnée de mise sous scellés des métiers, la mesure est levée par le juge le 14 mars 1848 sous la pression des fabricants et de la Directrice du “Pieux Secours” qui avait accepté les scellés à la condition que les autorités prennent en charge les cent quarante orphelines accueillies dans le couvent.
La reprise des activités industrielles dans les couvents entraîna une mobilisation croissante des passementiers. Les 13 et 14 avril 1848 des expéditions punitives contre les couvents s’organisent. C’est au cours de ces journées que les établissements du Pieux Secours (couvent de la Reine) rue de la Paix, le Refuge la Providence rue de Foy, de la Sainte Famille, rue de l’île, furent pillés, incendiés.

[2Voir Cahier n°48 mai 1999 article de Claude Cherrier : “La fusillade du Brûlé 16 juin 1869" et Cahier n°63 mars 2003 article d’Alain Bujard “Les ouvrières enfermées. Les couvents soyeux”.


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