Ces salariés refusent les licenciements et :
la dégradation des conditions de travail de ce métier très pénible (baisse du nombre de releveurs dans les équipes).
les baisses d’effectif (de 1260 à 1147 aujourd’hui... soit 10% en 3 ans)
les pertes d’acquis sociaux
tout recul dans la réduction du temps de travail où on voudrait leur imposer le travail en 5 jours au lieu de 4.
Ils exigent :
l’introduction d’une clause de protection des salariés dans les appels d’offre de la CUDL pour garantir l’effectif et la sécurité de l’emploi.
ainsi que l’arrêt des discriminations syndicales et la réintégration des salariés abusivement licenciés.
l’arrêt des sanctions contre d’autres salariés.
Ce jeudi 25 mai à 22h au 24e jour de grève de la faim, les forces de Police Nationale mandatée disent-elle par le préfet ont investi la rue de la justice où se tiennent 24h/24 les 2 grévistes de la faim Christian Andrieux et Kalad Haddou dans une caravane. Les policiers ont tenté d’intimider les grévistes.
Les profits patronaux peuvent croitre et embellir avec l’aide du pouvoir !
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