Actualité et mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
ANALYSES ET RÉFLEXIONS TRAVAIL - PRÉCARITÉ
SAINT-ÉTIENNE  
Publié le 26 avril 2021 | Maj le 25 mai 2021

Taffer en indé


Le salariat se fait de moins en moins attirant alors qu’il semble encore procurer quelques garanties dans un monde de plus en plus précaire. Nombre d’entre nous subissent les effets de sa rareté ou choisissent d’elleux-mêmes une vie de chomeureuses, non dépourvue de travail gratuit. Une situation qui demanderait à redéfinir radicalement le travail en fonction de sa valeur sociale. En attendant, celles et ceux qui choisissent, ou qui n’ont pas d’autre choix, que de taffer le font de plus en plus en indépendants. Témoignages, parus dans le Couac n°12, de Clément, artisan auto-entrepreneur dans le BTP (Bâtiment et travaux publics) et d’Alexandre, intervenant formateur en sciences sociales [1].

Bosser moins et décider plus ?

Le site internet de la métropole stéphanoise est fier de nous présenter « la communauté bienveillante qui s’allie à votre réussite ». Une manière d’orienter les start-ups et micro-entreprises vers les « pôles entrepreneuriaux » : Bâtiment des Hautes Technologies, Mixeur, pépinières de République et de Montreynaud. Autant de propositions pour nous pousser à devenir entrepreneurs de nos vies. Et effectivement, le nombre de « micro-entrepreneurs », autrefois « auto-entrepreneurs » a explosé en France, notamment depuis Sarkozy et ses réformes [2]. Pour Clément, il s’agit d’un choix conscient pour mettre fin à une partie des frustrations du salariat : « J’avais bossé dans pas mal d’entreprises et le seul format qu’il y avait dans le bâtiment c’était de bosser minimum 40 heures par semaine dans une boîte et d’avoir 5 semaines [de congés] par an ». Il a bien essayé l’intérim qui permet de jongler avec des périodes sans travail, mais cette option « crée une concurrence qui ne permet pas de défendre un salaire correctement ». L’absence de prise sur son travail (salaire, vacances, chantiers) le pousse à se mettre à son compte. « C’est quand même hyper intéressant de faire la conception, de dessiner […]. Et puis j’avais envie de voir ce qu’étaient les réalités d’un artisan indépendant ».

Pour Alexandre, c’est un peu différent. Lui, qui fait « partie des gens qui ont fui le salariat à la vingtaine pour sauter dans d’autres misères, le travail non déclaré dans le BTP ou l’agriculture, des tas d’esquive des rapports subalternes et violents du salariat », devient intervenant en sciences sociales dans des formations « aux métiers de l’aide », sans mettre tout de suite de côté ses anciens boulots. « Sur la variété d’activités ça m’allait très bien de faire les deux à la fois. Je suis bien content de m’être débarrassé de la hiérarchie et des rapports conflictuels avec des collègues, je suis hyper autonome. Je me lève à l’heure que je veux, je travaille dans l’ordre que je veux, sur les sujets que je veux dans une sorte de cadre assez souple et vague. »

Organiser une activité complémentaire à son emploi principal, légaliser du travail auparavant non déclaré, lancer sa start-up… Les emplois indépendants se développent pour tout un tas de raisons. Et la question devient un enjeu politique. Alexandre observe, dans son domaine, cette diversité de situations : « Quand les vacataires ouvraient leurs gueule, on leur renvoyait qu’ils avaient un taf à côté et venaient pour s’amuser presque. Il y a ceux qui ont un taf à côté qui vient nourrir leur enseignement, qui est un plus qu’ils choisissent. D’autres auraient bien été profs dans le supérieur ou formateurs mais ils se trouvent un taf à côté parce que ça leur permet de bouffer. J’aimerais pouvoir défendre la variété de l’activité, mais dans les conditions hyper contraignantes du monde contemporain ça vient vite se télescoper. Quand on cumule des activités mal rémunérées, on bugue dans sa tête aussi. Ou alors c’est d’autres types d’inégalités qui le permettent : des mecs dont leurs meufs s’occupent des gosses, des gens qui ont un capital ou un patrimoine par ailleurs…  ».

Concurrence partout, garanties nulle part

La réforme sur le statut de l’auto-entreprenariat de 2009 vise clairement à cacher ces inégalités, tout en les renforçant. Hervé Novélli, le secrétaire d’état à l’origine de celle-ci, déclarait : « Cela abolit, d’une certaine manière, la lutte des classes. Il n’y a plus d’exploiteurs et d’exploités. Seulement des entrepreneurs : Marx doit s’en retourner dans sa tombe. [3] » Les statuts indépendants sont avantageux pour les gouvernants qui font sortir une partie de la population des chiffres du chômage alors que de nombreuses micro-entreprises ont, en fait, un très faible volume d’activités. Et devenir indépendant, ça veut dire, dans les faits, être constamment en recherche d’emploi. À ce titre, les domaines d’activités de Clément et Alexandre sont bien différents. Le premier n’a pas besoin de communiquer sur ses activités : « J’ai trouvé par bouche à oreille et ça, ça fait plaisir. C’est le côté agréable du truc où on refile ton numéro parce que tu as fait du bon taf. » L’intervention dans des formations est, elle, très dépendante de politiques publiques à la pointe de la précarisation : «  Il faut connaître le cadre juridique pour s’intégrer dedans et démarcher 30 ou 35 établissements de la région qui, pour certains, en profitent allégrement parce que t’es en chien de thunes. J’ai arrêté de chercher n’importe où depuis quelques années. Je travaille un équivalent plein temps à l’année pour 700 balles par mois. Mais je travaille que dans un réseau d’interconnaissances, j’ai regroupé géographiquement et j’ai moins de mauvaises surprises. Ça garantit au moins d’avoir des rapports humainement respectueux. »

Le travail en indé est également avantageux pour les patrons qui vont pouvoir sous-traiter pour pas cher à des micro-entreprises. Clément s’est promis de ne pas participer à ce fonctionnement : « T’arranges le patron parce qu’il a moins de cotisations qu’un salarié et tu travailles pour une entreprise mais tu es responsable de ce que tu fais. L’entreprise se décharge de tout, elle te paye moins cher qu’un salarié et elle n’est plus responsable. Ce statut en sous-traitance éclate vraiment le salariat. » Pourtant, lorsqu’il a participé à une formation de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, ce n’est pas de l’avis de tout le monde : « La moitié des gens formés travaillaient en entreprise et avaient eu ce genre de propositions. Tu ne fais pas forcément le calcul tout de suite. Personne ne se rend compte de ce qu’il cotise, on regarde juste le bas de notre fiche de paye. En auto-entreprise ton net est plus élevé, tu cotises beaucoup moins mais tu ne t’en rends pas compte. On n’est pas sensibilisé.e.s au salariat et à ce que sont les caisses de cotisations. » Et même sans devenir sous-traitant, Clément se rend compte que son statut tire les prix vers le bas : « Je ne me rendais même pas compte quand je faisais un devis au début. Souvent mes devis étaient moins chers qu’une entreprise. Est-ce que c’était moi qui ne savais pas calculer et qui ai fait de la concurrence déloyale sans m’en rendre compte ? »

Dans l’enseignement, « c’est une sorte de concurrence permanente mais invisible » nous explique Alexandre : « On ne voit même pas la concurrence opérer entre précaires parce que les activités sont morcelées, mais ça existe. J’ai su après coup qu’on ne m’avait pas pris pour un contrat parce que je demandais le remboursement des frais de transports, et l’autre personne non. On parle d’une économie de 50 balles pour une structure. Et après il y a une concurrence avec les titulaires. Des gens se sentent en danger, parce qu’ils ont un bon salaire, un bon statut et des bonnes conditions, et ils doivent déléguer un taf qui correspond aux compétences d’autres. De l’autre côté ma précarité est la condition de ma viabilité dans ce milieu. » Lui ressent fortement l’absence de garanties sociales, « parce que ça [lui] est arrivé d’avoir des gros trous d’activités ». « C’est la schizophrénie de travailler dans un milieu hyper qualifié et d’être à la CMU et au RSA, ça te met en inconfort. Même si politiquement et pour les cours que je donne c’est hyper précieux parce que je sais de quoi je cause quand je parle précarité sanitaire aux étudiants. C’est une source de misère économique et de tension sociale. Je n’ai pas d’imprimante, je galère avec mon propre matériel informatique. » Pour Clément, c’est un peu plus abstrait : « J’ai qu’un an là-dedans mais je n’ai pas vraiment eu de souci de santé ou quoi. Les aides se comptent sur le chiffre d’affaires de l’année précédente, donc je n’ai droit à rien la première année de toute façon. »

Travail à la tâche

Dans les deux cas, les statuts indépendants nous rappellent les conditions des ouvriers textiles de la région, payés à la tâche et très contraints par la concurrence [4] : « Je suis presque payé pour le produit fini, pour des prestations de formation délimitées. Alors que c’est un boulot qui demande surtout du travail en coulisses, de préparation, d’anticipation, de suivi de l’actu, d’encadrement… » Alexandre identifie plusieurs facteurs au retour du travail individualisé : « La puissance des luttes ouvrières a dû faire réfléchir sur le regroupement d’ouvrières et d’ouvriers dans des quartiers, des syndicats, des usines. La colonisation et la mondialisation dans la foulée ont fluidifié techniquement les échanges de main d’œuvre et de capitaux. On est en train de connaître dans le tertiaire, les mêmes phénomènes que pendant la désindustrialisation. » Dans ce cadre, la propriété des moyens de production est plus contraignante que libératrice : « J’ai un ordinateur de merde et je me démerde avec ses soucis, surtout dans la période actuelle de digitalisation de tout. La propriété individuelle de ta misère quand t’es dans une position servile, ça te fait une belle jambe. »

Clément partage ce sentiment d’autonomie très relative et contrainte. Il ne choisit pas ses chantiers autant qu’il l’aurait voulu et maîtrise moins son temps de travail qu’il l’avait espéré : « Comme je sais les frais que j’ai et que je ne maîtrise pas les demandes, les dates se calent au plus rapide. J’essayais d’étaler pour avoir des périodes de pause entre chaque chantier. Mais il y a toujours de nouvelles demandes, qui paraissent un peu urgentes, comme des fuites. Et ces petits chantiers se calent entre les autres dates et les pauses disparaissent. Je me suis vraiment retrouvé piégé par ça l’été dernier. Les clients sont parfois des proches. C’est la famille, alors on s’arrange. Mais maintenant j’essaye de déculpabiliser. Je ne suis pas responsable de toutes les fuites. C’est super dur de se respecter tout en se disant que c’est la galère pour les autres. »

Taffer solo

Un sentiment de responsabilité très individuelle qui s’additionne à un manque de formation administrative : « Au final tu te rends compte que c’est un taf de ouf. Entre la compta, les assurances, les devis, les factures, en cumulé, quand tu as tes chantiers en plus à faire c’est énorme et je l’ai découvert. Au début je vivais les choses tout en m’observant en train de faire les choses. Je prenais du recul sur ce que ça voulait dire d’être artisan à son compte. Mais quand tu commences à galérer tu réalises un peu mieux à quel point t’es seul. » Au final, c’est cette charge mentale que l’artisan trouve la plus pesante dans son statut : « J’ai eu une galère en septembre où j’ai découvert une fuite sur une toiture sous la pluie. Il fallait que je gère le chantier dans les temps pour ne pas pourrir chez la personne et en même temps j’avais une galère administrative avec ma banque. Tu as plein de choses à gérer en même temps, il y a des urgences et tu te sens dépassé. Ma banquière voulait couper mon compte alors que j’étais sur le toit sous la pluie. Ce n’était pas mon urgence à ce moment-là et ce genre de situation arrive souvent. On ne peut pas tout gérer en même temps alors on met de côté dans la journée et c’est le soir qu’on y pense avec des insomnies à la clé. Et t’es tout seul dans ta galère. »

Même constat dans l’enseignement où les vacataires et intervenants ne se croisent pas, « parce que c’est des rapports unilatéraux avec nos employeurs et avec des interlocuteurs qu’on a dans les structures. Je ne travaille qu’à l’extérieur de la fac [dans des instituts de formations, satellites de l’université] alors que c’est sur les gros campus que les collègues précaires se retrouvent plus facilement. Tu es facilement confronté à de la violence verbale ou symbolique dans des milieux où tu n’as pas de moyens de défense. Même si la situation est massive, en particulier dans la région, où les établissements n’ont pas beaucoup de blé, c’est très dur de croiser du monde. » Avec des conséquences sur la qualité des cours donnés : « On ne sait pas comment les étudiant.e.s reçoivent certains cours. On sait que sur des questions de santé il y a des choses qui bousculent. Je m’endors souvent le soir avec le souci de comment je vais aborder un thème incontournable mais un peu complexe ou épineux. Ça fait que beaucoup d’intervenants évitent tous les sujets difficiles alors que c’est pour ça que les étudiant.e.s sont là. »

Collectiviser les moyens de production

Pour les deux travailleurs indépendants, l’isolement semble être un point de départ dans la recherche d’autres modes de travail. Clément envisage des solutions plus collectives : « Toute la charge mentale me pèse et ne me parle pas sur le long terme. J’essaye de voir comment mettre en place quelque chose à plusieurs, comment on peut se répartir les tâches, comment on décide à plusieurs. Quand t’es seul, tu t’enfermes dans une manière de penser. Même si le groupe apporte d’autres complications : se mettre d’accord en équipe, parler de thunes… » Il évoque des statuts coopératifs comme Cabestan à Saint-Étienne qui « prennent une part de la production mais pour gérer l’administratif, t’assurer et créer un réseau de gens avec qui tu peux travailler. L’aspect coopératif fait que tout le monde a sa part de décision dans la structure et une partie de la charge mentale est libérée. » Alexandre se dit également « un peu fasciné par les gens qui reprennent leur entreprise ou montent leur coopérative. Ça peut nous donner des anti-modèles sur la manière de travailler, la manière de se rémunérer, nous permettre de vivre dans le monde tel qu’il est tout en incarnant des choses différentes. Y’a des gens qui montent des organismes de santé en coopérative. On serait capables de faire la même chose dans l’enseignement et dans la formation. » Même s’il nuance : « Des coopératives, il y en a des tas qui sont dans des raisonnements capitalistes. » Clément partage déjà son atelier avec d’autres personnes et d’autres activités que la sienne : « Ça fait un espace social même si je reste seul dans mes galères. Surtout dans un moment où la période nous a bien chamboulés socialement et moralement. Tout perd du sens. Avec cette période sanitaire où on est de plus en plus isolé.es, y’a pas le goût de rester dans un travail qui isole davantage. Ce n’est pas le bon chemin. »

Là encore, tous les lieux collectifs ne se valent pas, et il est parfois difficile d’établir des critères pour fabriquer des espaces de solidarité plutôt que de participer au nouveau monde. Pour le formateur en sciences sociales, « le capitalisme se nourrit souvent d’innovations underground et autogérées. Les fab-labs ressemblent à un atelier Do It Yourself d’un squat de Punk. Les pépinières et espaces de coworking peuvent ressembler à des ateliers collectifs autogérés par certains aspects. Il y a un grand espace de glissement : le degré d’intégration dans l’économie monétaire, l’héritage de classe des gens qui y participent, les besoins fondamentaux auxquels ça répond. Et des structures, dépendantes des institutions, qui s’acculturent à ce que la bourgeoisie leur demande. C’est une question de contrôle politique et culturel. On n’arrive plus à penser à une culture populaire qui rassemble des valeurs et des idées. »

Repenser radicalement le travail

Cette individualisation des conditions de travail a réussi à court-circuiter les luttes collectives et Clément, sans être nostalgique, estime que « les syndicats n’ont pas réussi à reprendre cette question de l’auto-entreprenariat. Défendre des personnes isolées pour des syndicats qui ont déjà perdu de la force dans les entreprises c’est super compliqué. » Les formes de résistance sont à réinventer et peuvent être l’occasion d’une remise en cause plus radicale de la notion de travail. Alexandre met l’accent sur une redéfinition du travail selon son utilité sociale et non sa rémunération : « On doit arrêter de juger nos activités en fonction de ce que les employeurs leurs accordent comme valeur. Il faut qu’on arrive à réintroduire de la responsabilité collective dans ce qu’on fait. On peut critiquer le travail, mais si demain je choppe une forme grave du Covid, je suis content qu’il y ait du monde au CHU [Centre Hospitalier Universitaire] pour me soigner. Et je suis content de ne pas avoir à me cogner moi-même la destruction de mes ordures tous les jours et que les gandous passent s’occuper de mes poubelles. » Cette conception du travail permet de poser la question des activités non rémunérées (tâches ménagères, actions de solidarité, militantisme…). Et de poser séparément les enjeux économiques (rémunération) et politiques (activités) du travail. Il faut repenser des mécanismes collectifs d’auto-défense économique pour faire face à « une vision de la liberté transposée depuis la bourgeoisie rentière. Avec les nouveaux statuts indépendants, c’est la liberté pour les forts et la misère pour les faibles. Maintenant qu’on connaît pire, c’est difficile de ne pas défendre le salariat. Mais, évidemment, dans le fond, c’est un statut subalterne à la con. » D’où l’idée de penser des solidarités financières en dehors du travail comme le font certaines mutuelles autogérées, qui tentent de redistribuer les ressources au sein d’un groupe affinitaire pour s’opposer à ces schémas [5].

C’est dans cette logique que, pour Alexandre, on doit penser politiquement les échelles d’action, « la stabilité des règles de travail, la subsistance économique à plein en incluant des gens qui peuvent être handicapés, qui peuvent être vieux, qui peuvent être trop petits pour bosser, qui ont des maladies chroniques ou des accidents de la vie… Ça ne peut se penser qu’à plein. À dix c’est le naufrage. » Pour lui, le salaire universel n’est intéressant que « s’il est une étape pour se passer du fric. L’argent n’a de valeur que parce qu’il permet de mesurer les inégalités. C’est ça qu’il faut réussir à supprimer. Sinon, le risque de ce dispositif est qu’il mette de côté toute une partie de la population » et qu’il soit « une manière capitaliste de supprimer le travail. » « Si on trouve des moyens auto-organisés de s’occuper de la collecte des déchets, les soins, la garde des enfants… tous les besoins fondamentaux dont on peut rêver, moi je signe direct. Et je suis persuadé qu’ils existent ces moyens. Mais là il faut se projeter à nombreux et il faut se projeter à 100 ans. Et ça c’est du boulot ! »

P.-S.

Le Couac prolonge la discussion sur le travail à la radio ! Rendez-vous avec « La machine à découdre » sur Radio dio ce vendredi 30 avril à 19h.

Notes

[1Les prénoms ont été modifiés.

[2Cf. Jean-Philippe Martin, « Microentreprise, une machine à fabriquer des pauvres », Le Monde diplomatique, décembre 2017, https://www.monde-diplomatique.fr/2017/12/MARTIN/58192

[5Cf. « Mutuelles d’argent : partager pour mieux redistribuer », Couac, n°12, printemps 2021.


Proposé par Couac
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