Ce film s’intéresse à la place de la surveillance dans la société et à son acceptation dans l’opinion à travers l’argument « je n’ai rien à cacher ».
Alternant entretiens avec des spécialistes des techniques de surveillance numériques, exemples concrets et l’étude du cas de Max, qui vit à Berlin, le documentaire illustre le trajet d’une prise de conscience des dangers de la surveillance. Il pose aussi la question de l’intimité et de la capacité à se rebeller, à l’intérieur d’une société disposant d’outils dangereux.
Le film sera suivi d’un débat avec
- Stéphane Bortzmeyer, auteur du livre « Cyberstructure. L’Internet : un espace politique ».
- Julien Subercaze, professeur associé à Telecom Saint-Étienne.
La soirée est organisée par : Alolise, le Collectif pour une Transition Citoyenne dans la Loire (CTC42), Stop Linky 42 et Zoomacom.
Dire que vous ne vous souciez pas de la vie privée parce que vous n’avez rien à cacher, est comme dire que vous ne vous souciez pas de la liberté d’expression parce que vous n’avez rien à dire.
Edward Snowden
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