La relance du programme électro-nucléaire est présentée depuis plusieurs mois comme étant un moyen de décarboner l’économie et donc de sauver la planète via le climat. Son argument : les centrales nucléaires sont faiblement émettrices de gaz à effet de serre. Le contre-argument avançant qu’il faut aussi tenir compte des éléments carbonés en amont ou en parallèle (la construction, la fabrication, le transport…) est insuffisant.
C’est la question du « carbone », donc de « l’effet de serre », donc du « climat », qu’il faut analyser, tout en interrogeant la fonction politique du GIEC et le rôle du scientisme qui distord la démarche critique de l’esprit scientifique.
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