Il y a 62 ans, le cessez-le-feu était appliqué en Algérie, marquant un tournant décisif vers la victoire de la révolution nationale algérienne. À Saint-Étienne, ville ouvrière qui fut l’un des bastions du Front de Libération Nationale (FLN) en France, Français-es et Immigré-es se sont mobilisés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale pour revendiquer le droit à l’autodétermination. Pendant les 8 années de la révolution nationale, ils ont dénoncé les massacres, les actes de torture et les coups d’État de l’extrême droite, qui agissait avec la complicité de l’armée française, et ont soutenu les révolutionnaires (qui était aussi leurs collègues, voisins, amis) arrêtés et internés dans des camps en France.
Aujourd’hui, Saint-Étienne réaffirme qu’elle est toujours une ville anticoloniale et se mobilise pour soutenir la lutte pour l’autodétermination du peuple palestinien.
L’Algérie a vaincu, la Palestine vaincra !
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