Les permanences du groupe CNT Femmes Libres Mujeres Libres 42 continuent les 2^e mercredis du mois de 10h à 12h, et les 4^e mardis du mois de 14h à 16h.

Les permanences du groupe CNT Femmes Libres Mujeres Libres 42 continuent les 2^e mercredi du mois de 10h à 12h, et les 4^e mardi du mois de 14h à 16h.

Face à la guerre en Ukraine et la montée des extrêmes droites, nous réaffirmons que l’hospitalité pour tou·te·s celleux qui viennent demander refuge et soutien est non-négociable. Concert de soutien et cantine à prix libre, à la Gueule Noire le 14 mai à partir de 19h.

Stage d’autodéfense féministe le samedi 16 et le dimanche 17 avril de 9h30 à 17h à la MJC des Tilleuls.

La collective féministe des Sampianes propose un temps d’échange dans l’éventualité d’une relance jeudi 10 février à 19h à la Gueule Noire.

Samedi 20 novembre, arpentage contre les violences patriarcales avant la manif du 25 novembre. Ça se passe à la gueule noire, c’est en mixité choisie meufs/gouines/trans, et c’est à 15h.

Les Permanences du Groupe CNT Femmes Libres Mujeres Libres 42 reprennent deux fois par mois.

Le 5 juin à Nice, il y a une grande manifestation féministe contre les frontières et l’Europe forteresse. À Sainté on s’est organisées en comité local pour affréter un bus et pouvoir partir en masse à la manif : soutenez-nous avec les pizzas et T-shirts féministes !

Deux fois deux heures dans le mois, le 2^e mercredi en matinée (10h/12h) et le 4^e mardi du mois après-midi (14h/16h), une permanence est ouverte au local CNT de la Bourse du Travail pour se rencontrer et échanger. Cette permanence a pour but de permettre un premier contact, de donner des infos sur le groupe et son fonctionnement, ou de prendre RDV pour du soutien.

En soutien à Toutes aux frontières, appel pour contester la criminalisation de la migration, le groupe Femmes Libres Mujeres Libres - CNT42 propose une après-midi autour du thème des frontières, le samedi 13 mars 2021. Un événement pour parler de migration, de féminisme, et faire des cerf-volants !

Dans la perspective d’une émission radio, le groupe CNT Femmes Libres 42 lance un appel à témoignages.

Une journée à destination des enfants accompagné.e.s d’adultes accompagnant.e.s : jeux, lectures, cuisine et activités en tout genre. Le mercredi 26 février, de 10h à 17h à la Gueule Noire. Organisé par le groupe CNT - Femmes libres.

Ce mois ci au petit resto vegan, ce sont les enfants qui cuisinent.
RDV samedi 21 décembre 2019 à partir de 9h à la Gueule Noire.
Un espace jeux et un espace sieste sont prévus. Zone de gratuité jouets proposée par le Chantiez.

Une journée à destination des enfants accompagné.e.s d’adultes accompagnant.e.s : jeux, lectures, cuisine et activités en tout genre.

La CNT Femmes Libres de Sainté organise une soirée en mixité le samedi 7/12. Pour le plaisir d’écouter et de voir des spectacles féministes, et soutenir les Femmes Libres !

Une journée à destination des enfants accompagné.e.s d’adultes référent.e.s : jeux, lectures, cuisine et activités en tout genre. Lancement d’un rendez-vous régulier.

« CNT Femmes Libres » est un outil non-mixte de lutte contre les violences patriarcales sur les lieux de travail, dans les pratiques syndicales, dans l’espace privé ou public.

Le vendredi 13 à partir de 17h30 sur la Place Grenette, venez rencontrer des collectifs locaux qui œuvrent pour l’émancipation, la solidarité et la contre-culture.

Soirée de soutien à la CNT Femmes Libres de Saint-Étienne, avec la présentation du groupe, la projection d’un documentaire et des grignotages à prix libres.

Nos luttes ne nous renvoient pas dos à dos. Complémentaires, elles s’additionnent
En 1936, Mujeres Libres revendique de mettre fin au « triple esclavage des femmes : l’ignorance, le capital et les hommes ». En juillet 1937, avec ses 20000 adhérentes, provenant majoritairement des secteurs populaires, Mujeres Libres défend l’émancipation des femmes et leur participation à la lutte révolutionnaire. L’organisation se réclame d’un « féminisme prolétarien » dans le but de se dissocier du féminisme libéral qui prône l’égalité des femmes sans contester les rapports de domination de classes. Leurs « camarades » n’étaient pas pour autant enclins à les reconnaître politiquement comme une organisation autonome au sein du mouvement libertaire.