Comme tous les seconds vendredis du mois, nous nous retrouvons pour pédaler par dizaines dans les rues de Saint-Étienne sans suivre d’itinéraire précis. Face à l’emprise de l’automobile, revendiquons l’usage du vélo comme moyen de locomotion, comme moyen d’émancipation sociale, et, au mois de janvier, comme moyen de se tenir chaud.
Nous ne sommes pas une manifestation organisée.
Nous sommes le trafic.
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