Actualités des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Après la triste fermeture de l’Amicale Laïque de Beaubrun, qui prendra effet le 4 mars, retrouvons-nous pour envisager la suite. Mercredi 6 mars à 18h30.
A l’initiative de militant·e·s du BDS 42 et d’autres : films, débats, repas, expos, buvette, rencontre avec Salah Hamouri, théâtre, garderie... Du 8 au 10 mars.
La ZAD s’installe et se pérennise. N’hésitez pas à venir passer quelques jours, semaines, mois. Vous pouvez aussi aider de loin.
Le mardi 5 mars, de 18h à 20h.
Tour de vélo pour Gaza
Le mercredi 06 mars 2024, à 15h !
On se retrouve devant le Stade Geoffroy Guichard, avec nos drapeaux, nos sonos...
Les chiffres des montants des différents plans de relance mis en place à partir de 2020 à la suite de la crise COVID 19 sont vertigineux. Couac s’est penché sur la logique de ces plans et leur déclinaison dans la Loire.
C’est une toute petite partie de l’histoire de quelqu’un qu’on n’a pas connu, ou pas encore, ou qu’on ne voit pas. Elle vit aujourd’hui, ou juste un peu après ; dans le monde d’après-demain. Un récit paru dans le Couac n°14.
Couac a rencontré des membres du Comité Antifa de Saint-Étienne le 22 avril 2022. La discussion a porté sur l’histoire du comité, les mouvements fascistes à Saint-Étienne et leurs transformations, mais aussi la fascisation générale de la vie politique en France et ce qu’elle implique pour l’avenir du combat antifasciste.
Pratiquer le sport collectif, ça peut être galère du fait du coût des licences et de l’ambiance pas toujours inclusive qui règne dans les clubs « classiques ». Une solution : s’auto-organiser tous.tes ensemble. Petit récit dans le Couac n°13 d’un tournoi de basket auto-géré qui s’est déroulé le 23 octobre 2021 côté quartier Tardy.
Le 2 septembre 2021, se tenait à Marseille un congrès pour décoloniser les discours sur la conservation de la nature. Organisé par Survival international en réaction au sommet de l’UICN, il réunissait trente-cinq intervenant.es. Des Stéphanoises en déplacement nous racontent, dans le numéro de Couac paru à l’hiver 2021.
Guides pratiques, livrets...
Un bouquin de 192 pages pour savoir que faire lorsqu’un proche est incarcéré, comment est délivré un permis de visite, comment se déroule un parloir, quels sont les droits des proches des personnes détenues...
La seconde édition du Guide d’autodéfense numérique, mise à jour et augmentée, vient de paraître. Cet ouvrage vise à présenter « l’absence d’intimité » du monde numérique et des méthodes pour ajuster ses pratiques en conséquence.
Beaucoup d’entre nous utilisent quotidiennement, et souvent avec une certaine insouciance, les technologies numériques.
Pourtant, ce qui a motivé leur création et leur développement, tout autant que certaines affaires récentes, mérite qu’on apprenne à désamorcer le potentiel de surveillance et de répression dont elles sont toutes porteuses.
Cette brochure, terminée fin 2007, a été écrite à partir d’expériences des luttes des dernières années. Actuellement et depuis 2003, la durée maximum de rétention est de 32 jours. Dans le cadre d’une politique commune d’immigration au niveau européen, l’Etat français veut rallonger cette durée de plusieurs mois. Une nouvelle loi sera débattue courant 2008.
Mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet 2009, des « émeutes » éclatent dans le quartier de Firminy-Vert à Firminy. Elles vont durer trois nuits durant lesquelles des confrontations violentes opposent des jeunes aux forces de l’ordre, et vont toucher aussi les communes voisines de la vallée de l’Ondaine. Le Numéro Zéro revient à travers trois articles sur ces événements. Que s’est-il alors passé à Firminy ? (1/3) Comment ces événements ont-ils été vécus et analysés par les premiers concernés à l’époque ? (2/3) En quoi raisonnent-ils avec des épisodes plus récents dans les « quartiers populaires » ou des « mouvements sociaux » ? (3/3)
Alors que les communes de France préparent leurs traditionnelles et tristes célébrations du 14 juillet, revenons sur ces années de révoltes qui ont profondément et durablement chamboulé l’histoire de la France et du monde ; mais à travers le prisme des luttes de classes, de genres et décoloniales. Avec Caroline Fayolle, historienne. Un podcast de l’émission Sortir du Capitalisme.
Le 21 juin 1892, Ravachol comparait devant la cour d’assise de Montbrison. Il sera condamné à mort et exécuté trois semaines plus tard. Avant que le couperet lui tranche la tête, il réussira à lâcher un bref : "Vive l’anarchie !". Controversé ou mythifié, le natif de Saint-Chamond a marqué au fer rouge (et noir) l’histoire du mouvement anarchiste mondial. Comme l’écrivait Charles Malato : « Ravachol était une de ces personnalités déconcertantes qui peuvent laisser à la postérité la réputation d’un héros ou d’un bandit, suivant l’époque où ils vivent et le monde où ils se meuvent. »
Plus de 85 ans après, une émission d’histoire de la révolution espagnole (1936-1939), de l’anarchisme, de l’anarcho-syndicalisme et du communisme libertaire en Espagne, de l’Espagne du 19e siècle aux années 1930, des communes aragonaises, de la guerre civile, de la militarisation, de la contre-révolution républicano-stalinienne et de la victoire finale de Franco - avec Les Giménologues, auteurs de trois ouvrages à ce sujet.
Né à Saint-Étienne en 1886, Jean-Jaques Liabeuf en sera interdit de séjour et s’installera à Paris en tant qu’ouvrier cordonnier dans le quartier des Halles. Injustement condamné pour proxénétisme, il entreprend de laver son honneur par ses propres moyens : des brassards cloutés, une lame affûtée et un revolver. Il devient un légendaire « tueur de flics ». Sa condamnation à mort déclenche une forte émotion, si bien qu’on le surnommera le « Dreyfus des anars ». Le jour de son exécution, une insurrection éclate.
Rubrique réservée aux articles concernant la « Welcome Map Loire »
La Welcome Map Loire sera présentée à l’occasion de la rencontre anti-CRA organisée à la Gueule noire le vendredi 18 février 2022.
Une carte interactive de lieux ressources pour les personnes en situation de précarité et celles qui souhaitent les accompagner. En particulier à tous·tes les exilé·es qui arrivent à Saint-Étienne et dans la Loire : bienvenue !